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    Po, the Engineer - Constructivist Ideas in Paul Klee's Oeuvre
    (Munich: Hirmer, 2018) ;
    Lance Anderson
    The point of departure of this study is an oil-transfer drawing with watercolour details from 1922, which Paul Klee titled on the piece of cardboard as "Po", and in his handwritten catalogue of works as "Po, the Engineer". With this work, Klee is clearly responding to the new ideas of Constructivism, which where spreading from Russia at the time. By looking at a selection of works and manuscripts form Paul Klee's "Theory of Pictorial Form and Creative Design", the aim of the study is to demonstrate how, from 1922 onwards, the artist began to critically appropriate these Russian impulses, reshaping them to fit his own purposes, and parodying them to a certain extent, too.
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    « Nulla dies sine linea. La production artistique de Klee en 1939 »
    (Paris: Editions du Centre Pompidou, 2016) ;
    Jean Torrent
    Within Klee’s artistic career, the year 1939 is exceptional for the remarkable intensity of his creative drive, as reflected in a “record performance” of 1,253 works. Fully one quarter of his total output dates from the last four years of his life, after his health situation improved temporarily in 1937. On 10 May 1940, when Klee was admitted to a sanatorium in Ticino, he had already entered 366 works – the number of days in a leap year. 1940 was in fact a leap year, as alluded to explicitly by a key work of this period, Still Life on Leap Day. When Klee journeyed to Ticino, where he died on 29 June 1940, he may have experienced a foreboding that he would never return to Bern. As a precaution, he entered 366 works in his oeuvre catalogue before his departure, although there were actually several more. By rounding it out to this symbolic number, he was able to assure himself that in this year as well, he had remained true to his motto Nulla dies sine linea (No day without a line). Klee’s motto surfaces already in the oeuvre catalogue of 1938, where it is noted – not accidentally – after the work number 365. Klee apparently understood his maxim as meaning that he wished to avoid allowing a single day to pass without completing at least one drawing.
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    « Abstractes Ballett. De l’écriture de la danse à la danse de l’écriture »
    (Paris: Editions du Centre Pompidou, 2016) ;
    Jean Torrent
    Throughout his life, Klee was fascinated by the art of dance, as shown by around sixty works in his catalogue. After witnessing a performance by the Spanish dancer Augustine Caroline Otéro Iglesias in Rome in January of 1902, it became clear to him that “the artist can learn much here”, and that he would require greater contact with a dancer, “not only to feel the law of movement, but also to understand it”. During the Dessau period, Klee was friends with the German dancer Gret Palucca (1902–1993), who regularly performed her choreography at the Bauhaus. Published in the catalogue of the Klee exhibition of the Centre Pompidou in Paris (6 April - 1st August 2016).
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    « Scriptive Images in the Work of Paul Klee and Henri Michaux »
    (Cologne: Snoeck, 2014) ;
    Artlanguage - Sabine Bürger et Tim Beeby
    The production and pursuit of lines permeates Klee’s and Michaux’s reflections like a „red thread“, to employ a line-related metaphor, which Michaux also used. In Dessiner l’écoulement du temps (1957) Michaux sought a psychic script which would make the “inner sentence” visible, the “sentence without words”, which he compares to an endlessly twisting thread. The relationship between drawing and writing, and the scriptive image as the intersection of both these areas, are the focus of the present study. Writing is not only fixed language, but also visual image, because writing like images “speak” to the eyes. Its mission is not only to tell but also to show. Since Lessing’s Laocoon, writing has, in the European history of ideas, resisted classic disjunction of language or image. Klee himself used the term scriptive image in the titles of several works, such as his Secret scriptive image in the titles of several works.
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    « La place de la graphologie dans la théorie de l’art de Paul Klee »
    During the years that Klee studied there, Munich became the German center of graphology research. The dominant personality of the sciences of expression, at this time, in Germany, was the philosopher and graphologist, Ludwig Klages, who had given new impetus to this domain of research, since the turn of the century. His works on graphology would serve as an important reference for the theory of art developed later by Klee at the Bauhaus. The journal and the manuscripts of Klee’s courses demonstrate the keen interest that the artist assigned to graphology.
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    « Le Bauhaus et la Russie »
    (: Viella, Rome, 2009-3-21)
    Le but de cette étude est de montrer, au travers d’exemples choisis, comment les fondements esthétiques et théoriques du constructivisme russe ont émergé, dès 1922, dans l’enseignement et la production artistique des maîtres du Bauhaus. Elle trace les voies qui ont amené la pensée constructiviste russe à se faire connaître du Bauhaus ; elle accorde un intérêt tout particulier à la littérature qui circulait au sujet de l’Avant-garde russe, mais également aux visites et aux conférences qu’ont pu donner d’éminents artistes russes, tels que Malévitch, El Lissitzky et Naum Gabo. De même, elle étudie les contacts qui liaient les artistes du Bauhaus aux Ateliers supérieurs d’arts et de technique (Vkhoutémas) de Moscou, qui deviennent au cours des années vingt le centre de l’Avant-garde russe. De plus, l’influence exercée par la Première Exposition d’Art Russe, qui s’est tenue à Berlin durant l’automne et l’hiver 1922, sur la production artistique des maîtres du Bauhaus et de leurs étudiants est également examinée.
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    « Les jeux d’arabesques dans l’œuvre de Paul Klee »
    Dans son compte rendu de la rétrospective Klee organisée par la Galerie Flechtheim de Berlin en 1929, le critique d’art allemand Karl Scheffler (1869–1951) écrit : « Klee est manifestement fasciné par les dessins de Dürer illustrant les marges du Livre de prières de l’empereur Maximilien Ier, c’est-à-dire par ces jeux de lignes qui donnent forme à un animal, une plante, un individu sans que la plume ne soit relevée une seule fois du papier. La tradition de ces dessins de marges ne s’est jamais interrompue en Allemagne. Adoptée par Neureuther, elle s’est prolongée avec Menzel et a été perfectionnée par Slevogt – pour n’en citer que quelques uns. » De toute évidence, la citation de Scheffler intègre Paul Klee dans une tradition initiée par Dürer en Allemagne. Toujours selon le critique, « des personnalités telles que Klee existent de tous temps. Elles paraissent au premier abord plus différentes qu’elles ne sont au fond […]. » En paraphrasant Scheffler, nous pouvons constater que les lignes sans fin générées par Klee à partir d’un seul et même point paraissent « plus différentes qu’elles ne sont au fond » en comparaison des arabesques d’un Dürer, Runge ou Eugen Napoleon Neureuther (1806–1882). Cet essai propose d’analyser les modèles artistiques et le fondement théorique de la technique des arabesques de Klee.
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    « Paul Klees Wahlverwandtschaft mit Leonardo da Vinci im Spiegel seiner Bauhaus-Lehre »
    Dans son cours sur la Mécanique picturale, dispensé au Bauhaus, Klee paraphrase de nombreuses réflexions d’un choix de manuscrits de Léonard de Vinci, réunis et traduits en allemand par Marie Herzfeld (1855–1940), dont il possédait la deuxième édition publiée en 1906.
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    « Paul Klee und die ‹ Kunst des Sichtbarmachens › von Musik »
    Peu d’années avant qu’il n’explique à ses élèves du Bauhaus que chaque forme plastique commence dans le mouvement d’un point, le musicologue Ernst Kurth (1886–1946) – dans sa thèse d’habilitation, soutenue en 1912 à l’Université de Berne – définissait d’ailleurs la « ligne mélodique » comme le « parcours d’un son mis en mouvement ». C’est donc à partir du mouvement d’un élément de base – qu’il s’agisse d’un point ou d’un son – que se développerait une œuvre d’art plastique ou musicale. Pour Klee, le véritable lien entre les disciplines des arts plastiques et de la musique est précisément fourni par cette analogie.
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    « Paul Klee und der Münchener ‹ Kultus der Linie › »
    (Bönen: Kettler, 2007)
    Lorsque Klee, âgé de 18 ans, commence ses études d’art à Munich en 1898, le mouvement de l’Art nouveau y a atteint son apogée. Le « culte de la ligne » qu’évoque Thomas Mann en 1902 dans sa nouvelle Gladius Dei prédomine la scène artistique munichoise. Ce terme de « culte » signale d’emblée que la ligne était plus qu’un simple motif esthétique de l’Art nouveau. À cette époque, la capitale bavaroise s’affirme comme un bastion de la psychologie des lignes. Autour de 1900 des philosophes comme Theodor Lipps, des psychologues, des artistes et des historiens de l’art élaborent à Munich les théories les plus variées sur les qualités, l’expressivité et les effets de la ligne. Jamais auparavant en aucun lieu d’Allemagne on avait porté tant d’intérêt au phénomène de la ligne ; jamais on ne lui avait consacré de telles recherches. À la même période, avec leurs nombreux écrits sur Henry van de Velde, Julius Meier-Graefe et Karl Scheffler contribuent notablement à la propagation en Allemagne des théories développées par Humbert de Superville, Charles Blanc, Charles Henry et Seurat sur l’expression des lignes.