Voici les éléments 1 - 10 sur 83
  • Publication
    Accès libre
    Die Linientheorien von Paul Klee
    (Petersberg: Michael Imhof, 2009)
    thèse d'habilitation sur Paul Klee
  • Publication
    Métadonnées seulement
    « Nulla dies sine linea. La production artistique de Klee en 1939 »
    (Paris: Editions du Centre Pompidou, 2016) ;
    Jean Torrent
    Within Klee’s artistic career, the year 1939 is exceptional for the remarkable intensity of his creative drive, as reflected in a “record performance” of 1,253 works. Fully one quarter of his total output dates from the last four years of his life, after his health situation improved temporarily in 1937. On 10 May 1940, when Klee was admitted to a sanatorium in Ticino, he had already entered 366 works – the number of days in a leap year. 1940 was in fact a leap year, as alluded to explicitly by a key work of this period, Still Life on Leap Day. When Klee journeyed to Ticino, where he died on 29 June 1940, he may have experienced a foreboding that he would never return to Bern. As a precaution, he entered 366 works in his oeuvre catalogue before his departure, although there were actually several more. By rounding it out to this symbolic number, he was able to assure himself that in this year as well, he had remained true to his motto Nulla dies sine linea (No day without a line). Klee’s motto surfaces already in the oeuvre catalogue of 1938, where it is noted – not accidentally – after the work number 365. Klee apparently understood his maxim as meaning that he wished to avoid allowing a single day to pass without completing at least one drawing.
  • Publication
    Métadonnées seulement
    « Le recueil de la collection Reiber »
    (Paris: Société nouvelle Adam Biro, 1998)
    Redécouvert au début du 20e siècle après plus d’un siècle d’oubli, le miniaturiste, dessinateur et graveur strasbourgeois Johann Wilhelm Baur a partagé sa carrière entre Rome, Naples et Vienne. Après une formation de dix ans dans l’atelier de Friedrich Brentel, il quitte vers 1628 sa ville natale pour entreprendre l’incontournable voyage en Italie. Peu d’artistes allemands de la première moitié du 17e siècle ont obtenu aussi rapidement la faveur des Farnese, Colonna, Orsini, Borghese et surtout du futur cardinal Mazarin. Sensibilisé par Brentel à l’art de Paul Bril et d’Adam Elsheimer, Baur réalise des miniatures sur parchemin très prisées alors des collectionneurs romains. Créateur des « vedute » de luxe, il transpose les vues gravées de Rome en miniatures à la gouache. Ce genre lui assure le succès dès son arrivée en 1637 à Vienne, où la cour de Ferdinand III nourrit un véritable engouement pour l’ « italianité ». Parallèlement à cette activité de védutiste, Baur réalise de 1639 à 1641 le chef-d’œuvre de sa carrière, l’illustration des Métamorphoses d’Ovide en 151 planches gravées à l’eau-forte. Baur est l’une des personnalités prépondérantes dans la diffusion en Allemagne de l’expression du baroque romain à son apogée.
  • Publication
    Métadonnées seulement
  • Publication
    Métadonnées seulement
    « Johann Wilhelm Baur, la vie et l’œuvre »
    (Paris: Société nouvelle Adam Biro, 1998)
    Catalogue de la première exposition monographique sur Baur que les Musées de Strasbourg ont consacré à cet artiste strasbourgeois. Redécouvert au début du 20e siècle après plus d’un siècle d’oubli, le miniaturiste, dessinateur et graveur strasbourgeois Johann Wilhelm Baur a partagé sa carrière entre Rome, Naples et Vienne. Après une formation de dix ans dans l’atelier de Friedrich Brentel, il quitte vers 1628 sa ville natale pour entreprendre l’incontournable voyage en Italie. Peu d’artistes allemands de la première moitié du 17e siècle ont obtenu aussi rapidement la faveur des Farnese, Colonna, Orsini, Borghese et surtout du futur cardinal Mazarin. Sensibilisé par Brentel à l’art de Paul Bril et d’Adam Elsheimer, Baur réalise des miniatures sur parchemin très prisées alors des collectionneurs romains. Créateur des « vedute » de luxe, il transpose les vues gravées de Rome en miniatures à la gouache. Ce genre lui assure le succès dès son arrivée en 1637 à Vienne, où la cour de Ferdinand III nourrit un véritable engouement pour l’ « italianité ». Parallèlement à cette activité de védutiste, Baur réalise de 1639 à 1641 le chef-d’œuvre de sa carrière, l’illustration des Métamorphoses d’Ovide en 151 planches gravées à l’eau-forte. Baur est l’une des personnalités prépondérantes dans la diffusion en Allemagne de l’expression du baroque romain à son apogée.
  • Publication
    Métadonnées seulement
  • Publication
    Métadonnées seulement
    Kokoschka - Dürrenmatt. Le mythe comme parabole
    (Neuchâtel: Centre Dürrenmatt Neuchâtel, 2018) ;
    Philippe Moser
    Tant Kokoschka que Dürrenmatt se sont servis des sujets de l’histoire et de la mythologie antiques comme paraboles du présent. Celles-ci leur permettaient de dénoncer des dérives actuelles. Il ne s’agit pas en l’espèce d’un phénomène moderne, les tragédiens antiques rivalisaient déjà pour « inventer de nouvelles lectures de mythes "chargées d’actualité" ». Le motif du labyrinthe crétois avait servi à Dürrenmatt de métaphore « pour donner forme au monde ». Dans sa pièce Hercule et les écuries d’Augias, créée d’abord pour la radio (1954) puis reprise au théâtre sous forme de comédie, il joue sur les carences de la bureaucratie suisse. La Suisse y est décrite comme un « paysage primitif couvert de bouses de vaches » qu’Hercule doit nettoyer. Dürrenmatt fait décrire à Augias son pays comme une entité « libéralo-patriarcale louvoyant entre la Ligue de Délos, l’hégémonie de Sparte et l’Empire mondial perse ». On y reconnaît aisément les divers protagonistes de la guerre froide, l’Europe est figurée sous les traits dela Ligue de Délos, les USA à travers Sparte l’hégémonique et l’URSS tient le rôle de l’Empire perse. La Suisse « louvoie » sous pavillon neutre entre les camps. Augias n’est bien entendu pas roi, mais président, qui débat avec les parlementaires « au sein du Grand Conseil National » sur la façon dont son pays pourrait se débarrasser de ce fumier légendaire. Finalement les propositions d’Hercule pour vider les écuries d’Augias échouent lamentablement face à l’opposition de l’administration. Comme l’avaient fait avant lui Franz Werfel (1915), Jean Giraudoux (1939), Matthias Braun (1959) et Jean-Paul Sartre (1965), Kokoschka a choisi Les Troyennes d’Euripide (415 av. J.-C.) comme instrument toujours actuel de dénonciation de la guerre. Entre 1971 et 1972, il illustre cette tragédie de 15 lithographies. Lorsque Kokoschka apprend par la presse que des enfants israéliens ont été assassinés par des terroristes, il compare ce crime à celui du meurtre du fils d’Hector, Astyanax, commis durant la guerre de Troie. En 1968/70, Dürrenmatt a qualifié « ce qui est exemplaire, ce qui a valeur de parabole » comme étant « substantiel sur le plan dramatique ». Pour ces deux artistes, le mythe était donc la parabole la plus appropriée pour réfléchir le présent. De leur point de vue, l’art abstrait échouait à assumer cette tâche. Dans cet esprit, Dürrenmatt écrivait en 1978 : « Les métaphores qui parlent aux sens ne sont pas des formes géométriques ou stéréométriques, ce sont des mythes : nos mythes. »
  • Publication
    Métadonnées seulement
    « La place de la graphologie dans la théorie de l’art de Paul Klee »
    During the years that Klee studied there, Munich became the German center of graphology research. The dominant personality of the sciences of expression, at this time, in Germany, was the philosopher and graphologist, Ludwig Klages, who had given new impetus to this domain of research, since the turn of the century. His works on graphology would serve as an important reference for the theory of art developed later by Klee at the Bauhaus. The journal and the manuscripts of Klee’s courses demonstrate the keen interest that the artist assigned to graphology.
  • Publication
    Métadonnées seulement
    « La fortune critique »
    (Paris: Société nouvelle Adam Biro, 1998)
    Redécouvert au début du 20e siècle après plus d’un siècle d’oubli, le miniaturiste, dessinateur et graveur strasbourgeois Johann Wilhelm Baur a partagé sa carrière entre Rome, Naples et Vienne. Après une formation de dix ans dans l’atelier de Friedrich Brentel, il quitte vers 1628 sa ville natale pour entreprendre l’incontournable voyage en Italie. Peu d’artistes allemands de la première moitié du 17e siècle ont obtenu aussi rapidement la faveur des Farnese, Colonna, Orsini, Borghese et surtout du futur cardinal Mazarin. Sensibilisé par Brentel à l’art de Paul Bril et d’Adam Elsheimer, Baur réalise des miniatures sur parchemin très prisées alors des collectionneurs romains. Créateur des « vedute » de luxe, il transpose les vues gravées de Rome en miniatures à la gouache. Ce genre lui assure le succès dès son arrivée en 1637 à Vienne, où la cour de Ferdinand III nourrit un véritable engouement pour l’ « italianité ». Parallèlement à cette activité de védutiste, Baur réalise de 1639 à 1641 le chef-d’œuvre de sa carrière, l’illustration des Métamorphoses d’Ovide en 151 planches gravées à l’eau-forte. Baur est l’une des personnalités prépondérantes dans la diffusion en Allemagne de l’expression du baroque romain à son apogée.