Voici les éléments 1 - 4 sur 4
  • Publication
    Accès libre
    Manuel d’orthographe pour le français contemporain
    (Neuchâtel: Alphil – Presses universitaires suisses, 2011) ; ;
    Associant explications théoriques, exercices pratiques et listes de mots, ce manuel s’adresse à des apprenants du français de niveau B2 selon le Cadre européen commun de référence pour les langues (CECR). Il se compose de deux parties : l’une est consacrée aux règles d’orthographe grammaticale, l’autre à l’orthographe d’usage. Dans la première partie, les auteurs abordent tous les grands chapitres de l’orthographe grammaticale (pluriel et féminin des noms et des adjectifs, accord du participe passé, etc.). Evitant au maximum les listes d’exceptions, ils cherchent à donner aux apprenants des explications à valeur générale. Le lien entre code phonique et code graphique (entend-on ou non une distinction de genre ou de nombre, par exemple) est mis en évidence pour expliquer les règles et les systématiser. Les mots présentés dans la partie dédiée à l’orthographe d’usage ont été sélectionnés selon un critère de fréquence : il s’agit des 2000 mots les plus courants dans un corpus journalistique. Les unités lexicales sont classées en fonction du lien entre le code oral et le code écrit ; de cette manière, les auteurs veulent mettre en évidence des correspondances régulières entre phonèmes et graphèmes. Dans les exercices d’orthographe d’usage, le recours à l’alphabet phonétique international (API) permet de tenir compte du rôle important du code oral pour l’acquisition de la graphie. Tirés d’un corpus journalistique de la première décennie du XXIe siècle, tous les exemples et toutes les phrases des exercices de ce manuel sont authentiques.
  • Publication
    Accès libre
    Conceptualisation et utilisation d'exercices de compréhension orale sur la base de documents radio authentiques
    In diesem Beitrag gehen wir davon aus, dass bei der Förderung der Hörverstehenskompetenz von fremdsprachigen Studierenden zwei Faktoren zu berücksichtigen sind: einerseits die Art der authentischen Tondokumente (spontanes Sprechen oder mündliche Schriftlichkeit), andererseits der Verständnisgrad (oberflächlich, global oder detailliert). Dank der Kombination dieser beiden Kriterien können mehr oder weniger schwierige Aufgaben konzipiert und somit eine didaktische Progression geplant werden. Indem wir uns auf ein Korpus von Tests stützen, wollen wir untersuchen, ob der durch unsere Kriterien definierte Schwierigkeitsgrad mit den Ergebnissen der Lernenden übereinstimmt. Dabei richten wir unser Augenmerk vor allem auf die Aufgaben, welche eine besonders niedrige Erfolgsrate aufweisen. Es geht darum, die Gründe für ein schlechtes Abschneiden zu erschliessen: Liegen sie am Tondokument selbst (Thematik, Sprechweise der Gesprächsteilnehmer) oder an der Tragweite bzw. Formulierung der Fragen? In der vorliegenden Studie geht es einerseits um die Evaluierung unserer Unterrichtspraxis, andererseits um die Bereitstellung des nötigen Werkzeugs für die Gestaltung von Hörverstehensaufgaben für ein Universitätspublikum mit anvisiertem Niveau C1 des GER1.