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- PublicationAccès libreEl Sansón de Extremadura según Tamayo de VargasPocos soldados de nuestro Siglo de Oro fueron tan literarios como el valeroso caballero trujillano Diego García de Paredes, cuyas inverosímiles hazañas recorren todo tipo de géneros literarios áureos, desde la autobiografía y la historia hasta la epopeya y el teatro . De entre las obras que protagoniza el «Sansón de Extremadura» (Mélida, 1924: 359), una de las más exhaustivas y menos estudiadas es la que le consagró en 1621 el humanista madrileño Tomás Tamayo de Vargas, que ese año publicó en Madrid, en casa de Luis Sánchez, su Diego García de Paredes y relación breve de su tiempo, una biografía de 141 folios y gran aparato de fuentes y documentos que el erudito y futuro cronista real firmó «En Casasbuenas, en mi estudio, a diez de diciembre de 1620». Todavía es un misterio qué llevo a Tamayo de Vargas a dedicar su tiempo a una figura muerta en tiempos del Gran Capitán, hacía ya casi un siglo. Para tratar de dilucidar este problema, nuestro trabajo comenzará repasando brevemente la trayectoria vital del militar extremeño, resaltando sus peculiaridades, que bien podríamos llamar excentricidades. A continuación, recordaremos los rasgos esenciales de la carrera de Tamayo de Vargas, para luego, y armados de este contexto, abordar las características de su libro de 1621. Concretamente, y tras un análisis general, examinaremos la metodología del biógrafo centrándonos en los problemas historiográficos y de decoro que presentaba la figura de García de Paredes y en cómo los aborda Tamayo de Vargas. Tras eso, y para concluir, presentaremos las hipótesis que podrían explicar las motivaciones del humanista, subrayando entre ellas la que nos parece más convincente.
- PublicationAccès libreReescritura e intertextualidad en Calderón: No hay cosa como callar(2013)Étudier les différences de degré entre intertextualité et réécriture permet parfois d’aller plus loin dans l’interprétation littéraire. Après quelques considérations théoriques, on analysera le cas de la pièce de Calderón intitulée No hay cosa como callar. Son protagoniste, don Juan de Mendoza, est souvent rapproché du personaje central du Burlador de Sevilla . Mais la relation de la comedia avec La fuerza de la sangre, une des Nouvelles exemplaires de Cervantes, est en réalité beaucoup plus prégnante: la pièce est une réécriture de la nouvelle, dont elle reprend le motif du viol, trait caractéristique des deux textes et qui reste étranger à The Libertine de Thomas Shadwell, inscrit pour sa part dans la postériorité du Dom Juan de Tirso., The study of the differences of degree between intertextuality and rewriting can allow to a better understanding of some aspects of literary interpretation. After present some theoretical questions about both concepts, I analyze Calderón’s comedy No hay cosa como callar as a perfect example of the problem. It protagonist, don Juan de Mendoza, has been linked repeatedly with the myth born in El burlador de Sevilla, play that presents soft intertextual contacts, while the relationship with La fuerza de la sangre, one of Cervantes’ Novelas ejemplares, is fare more profound: in fact, the calderonian comedy could be considered as a new example of the rewriting of a novel in prose, pattern that determines certain characteristics of the resulting work. Then, the feature of rapist of the main character is an unvariant maintained from the original, and not a conscious innovation of the poet, because until The Libertine, by Thomas Shadwell, it’s not introduced this innovation in the trail of the myth., El estudio de las diferencias de grado existentes entre intertextualidad y reescritura pueden permitir apreciar mejor algunos puntos de la interpretación literaria. Tras exponer un par de cuestiones teóricas sobre ambas conceptos, se analiza como ejemplo la comedia de Calderón No hay cosa como callar. Su protagonista, don Juan de Mendoza, se ha vinculado repetidamente con el mito nacido en El burlador de Sevilla, con el que mantiene débiles nexos intertextuales, mientras la relación que muestra con La fuerza de la sangre, una de las Novelas ejemplares de Cervantes, es mucho mayor: de hecho, puede considerarse la comedia calderoniana como una nueva muestra de reescritura de una novela en prosa, patrón que determina ciertas características de la obra resultante. Así, el rasgo de violador del personaje es una invariante mantenida desde el original y no una innovación consciente del poeta, pues hasta The Libertine de Thomas Shadwell no se introduce esta novedad en la estela del mito.
- PublicationAccès libreVariación lingüistica en documentos coloniales de la Audiencia de Quito (1563-1822): Estudio histórico de conectores consecutivos
; ; ;Eberenz, Rolf ;Echenique Elizondo, Teresa ;García-Godoy, TeresaZorraquino, MartínCette thèse, intitulée, «Variation linguistique dans la documentation coloniale de l’Audiencia de Quito (1563-1822). Étude historique des connecteurs consécutifs», a été effectuée dans le cadre d’un projet financé par le Fonds National Suisse de la Recherche Scientifique, «Evolution historique de l’espagnol dans la Audiencia de Quito et au Panama durant l’époque colonial (XVIème-XVIIIème siècles). Etude de Linguistique Historique Contrastive», dirigé par Juan Pedro Sánchez Méndez. Cette recherche est consacrée à l’étude historique de la variation linguistique dans des documents coloniaux de l’Audiencia de Quito à partir de l’analyse d’un paradigme concret : celui des connecteurs consécutifs. L’étude de ces unités, considérées comme un sous-genre des marqueurs discursifs, a attiré l’attention de nombreux linguistes en ce qui concerne les analyses synchroniques, comme le montre la prolifération des recherches de ces dernières décennies. En revanche, les études historiques manquent et celles dont nous disposons traitent principalement l’analyse d’une ou quelques unités depuis leur origine jusqu’à l’espagnol actuel. Cependant, et parmi les éléments originaux qui rendent ce travail novateur, on peut souligner en premier lieu le fait qu’il s’agit d’une étude de nature historique de tout un paradigme au cours de quatre siècles : le XVIème, le XVIIème, le XVIIIème et le XIXème. L’originalité de la recherche nous a obligé à développer une méthodologie spécifique basée sur différentes approches de la grammaire traditionnelle, de l’analyse du discours et de la linguistique cognitive. Notre intérêt principal été d’offrir une étude intégrale de chaque unité, en analysant ses propriétés morphologiques, syntactiques, sémantiques et pragmatiques, tout en tenant en compte les fréquences d’usage et les types textuels au sein desquels elles apparaissent. On peut également souligner qu’il s’agit de la première étude exhaustive de ce type qui se base sur des documents coloniaux américains, ce qui constitue un autre élément intéressant quant à la validité et l’adéquation de ce type de sources documentaires pour les intérêts de la recherche actuelle en linguistique. Les conclusions principales de la thèse sont les suivantes : 1) La documentation coloniale est propice pour la réalisation d’une étude historique des marqueurs discursifs, comme nous l’avons constaté dans le cas concret des connecteurs consécutifs. 2) On a montré également la relation étroite qui existe entre ces unités et les séquences textuelles dans lesquelles elles sont utilisées, parce que même s’il existe des unités qui sont utilisées d’une manière similaire dans deux typologies textuelles différenciées, il y a aussi des unités qui montrent d’une manière claire la préférence pour un ou l’autre type de texte. Les différences d’usage de chaque unité peuvent être vues dans les figures 21 et 22 du chapitre 5. 3) La méthodologie utilisée nous a permis de classifier un nombre considérable d’unités dans le paradigme des connecteurs consécutifs. Avec l’approche onomasiologique, nous avons abordé l’étude d’un numéro abondant d’unités et, grâce à la théorie des prototypes, nous avons pu les placer dans une position proche ou éloignée du prototype de la catégorie. L’utilité de cette méthodologie peut être extrapolée à l’étude historique des autres marqueurs discursifs comme, par exemple, les connecteurs additifs, avec l’objectif de pouvoir offrir dans le futur un travail intégral et complet de toutes ces unités dans l’histoire de l’espagnol. 4) Le période chronologique abordée nous a permis d’observer les variations que ces unités montrent dans l’histoire de la langue. On a pu constater des émergences différentes des unités au cours du XVIIème siècle, mais aussi au XVIIIème et XIXème siècles. De plus nous avons recueilli des données importantes en ce qui concerne la naissance de quelques unités qui n’avaient pas été documentées auparavant.