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    « L’abbatiale de Bellelay – Du lieu cultuel au lieu culturel »
    (: Société jurassienne d'Emulation, 2014-9-20)
    Depuis 1963, l’église abbatiale de Bellelay, située au cœur du Jura bernois, accueille chaque année durant les mois d’été une exposition d’art contemporain. Achevé en 1714 par le célèbre architecte vorarlbergien Franz Beer, cet édifice baroque ne sert plus de lieu cultuel depuis sa sécularisation par les troupes révolutionnaires françaises en 1797. Dépourvu de toute couleur, à l’exception de la fresque du chœur dont il ne reste que des fragments, l’intérieur de l’église se prête particulièrement bien aux expositions d’art contemporain. En ce qui concerne Bellelay, ainsi que certains autres couvents et églises reconvertis depuis les années 1970 en lieux d’exposition d’art contemporain, on peut observer un effet de synergie. Les visiteurs qui se rendent à Bellelay avec le projet d’aller admirer un monument baroque, entrent incidemment en contact avec l’art contemporain. À l’inverse, ceux qui ont été attirés par l’exposition annuelle d’été à Bellelay, découvrent par la même occasion l’un des plus prestigieux édifices baroques de la Suisse.
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    « Die ‹ Paper Tube Structures › von Shigeru Ban. ‹ Architektur als Objekt › im wörtlichen Sinne »
    (: Verlag des Germanischen Nationalmuseums, Nürnberg, 2012-7-20)
    Paper held at the 33rd Congress of the International Committee of the History of Art in Nürnberg; The Challenge of the Object: The architect Shigeru Ban, born in Tokyo in 1957, shows with his buildings from cardboard tubes that architecture can certainly have the character of an object that is both portable and that one can actually grasp. His paper tube structures can be moved from one place to another without any effort. The tent roof of his Paper Church of 1995, built to replace a building destroyed in the Kobe earthquake, is built on 58 cardboard tubes. Ten years after its consecration, the church was disassembled into its constituent tubes and sent to Taiwan. Shigeru Ban makes it possible to present a finished sacred building as a gift to a neighbouring country as if it were an ‘object’. In April 2008, the auction house Phillips de Pury & Company auctioned off a finished paper tea house by the architect for £31,700. With his Japan Pavilion at the World Expo 2000 in Hanover, Ban created the biggest construction that had ever been made of paper. The Pavilion comprised a three-dimensional mesh of 440 cardboard rolls whose outer surface was made of a water-resistant paper membrane. In keeping with the eco-political guiding theme of Expo 2000, all the materials of the building were intended to be able to be recycled and re-used after the end of the exhibition. Up to this point, the work of an architect had been regarded as finished once the building was complete. Shigeru Ban, however, sees his paper buildings only as ‘completed’ when they have fulfilled their temporary purpose and have been disposed of in an ecological manner. They thereby comply with the same norms as the packaging materials for consumer products. The fact that concepts such as ‘architecture’ and ‘mobility’ are by no means mutually exclusive is proven by the Nomadic Museum that the architect constructed in 2005 from paper tubes and 148 shipping containers, next to the Hudson River in New York. It was built for the exhibition ‘Ashes and Snow’ by the photo artist Gregory Colbert. As the adjective ‘nomadic’ suggests, the architecture travels along with the exhibits in this touring exhibition. From this combination of paper tubes and containers, Shigeru Ban developed the ephemeral ‘Papertainer Museum’ in 2006 for the Korean publisher ‘Design House’ in Seoul. The present lecture will illustrate the notion of ‘architecture as object’ in its literal sense and will question the traditional concept of architecture.
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    Dramaturgien der Phantasie. Dürrenmatt intertextuell und intermedial
    (: Wallstein, Göttingen, 2011-9-3)
    L’œuvre de Dürrenmatt est habitée par des visions de la fin du monde, tant dans ses textes que dans ses dessins et peintures. Avec beaucoup de fantaisie il imagine les scénarios possibles de la fin : catastrophes cosmiques ou humaines, pannes tragiques, génocides, guerres nucléaires.
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    Kunst auf der Suche nach der Nation. Das Problem der Identität in der italienischen Malerei, Skulptur und Architektur vom Risorgimento bis zum Faschismus
    (: Lukas, Berlin, 2011-6-29)
    The transformation of Santa Croce into the "Temple of the Italian Glories". This title is justified by the burial places of some of the most illustrious Italians, such as Michelangelo, Galileo, Machiavelli, Foscolo, etc.
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    « Le Bauhaus et la Russie »
    (: Viella, Rome, 2009-3-21)
    Le but de cette étude est de montrer, au travers d’exemples choisis, comment les fondements esthétiques et théoriques du constructivisme russe ont émergé, dès 1922, dans l’enseignement et la production artistique des maîtres du Bauhaus. Elle trace les voies qui ont amené la pensée constructiviste russe à se faire connaître du Bauhaus ; elle accorde un intérêt tout particulier à la littérature qui circulait au sujet de l’Avant-garde russe, mais également aux visites et aux conférences qu’ont pu donner d’éminents artistes russes, tels que Malévitch, El Lissitzky et Naum Gabo. De même, elle étudie les contacts qui liaient les artistes du Bauhaus aux Ateliers supérieurs d’arts et de technique (Vkhoutémas) de Moscou, qui deviennent au cours des années vingt le centre de l’Avant-garde russe. De plus, l’influence exercée par la Première Exposition d’Art Russe, qui s’est tenue à Berlin durant l’automne et l’hiver 1922, sur la production artistique des maîtres du Bauhaus et de leurs étudiants est également examinée.
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    « ‹ Linien-Abenteurerei › zwischen Dichtung und Wahrheit – Das Klee-Bild von Henri Michaux und sein Fortwirken in Frankreich »
    (: Deutscher Kunstverlag, Berlin, 2007-10-6)
    A l’automne 1954, Henri Michaux (1899–1984) a composé le poème Aventures de Lignes en guise de préface à la traduction française de la monographie de Will Grohmann sur Paul Klee. De par son double don d’écrivain et de peintre, Michaux éprouvait une affection particulière pour Klee. Dans son ouvrage paru aux Editions Cahiers d’Art en 1929, Grohmann avait d’ailleurs déjà présenté Klee au public français sous les traits d’un peintre et d’un poète. Selon Grohmann, chaque titre de ses tableaux était en soi un « poème en raccourci ». La métaphore des lignes qui se promènent, Michaux la tire du premier paragraphe des Esquisses pédagogiques, où Klee compare les ébats d’une ligne active à une « promenade pour la promenade, sans but particulier ».