Voici les éléments 1 - 10 sur 49
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    Les publics du fait divers
    (Metz: Université de Lorraine, CREM, 2017) ;
    Lits, Marc
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    Les people, icônes de la visibilité
    (Paris: AISLF, AIS et AFS, 2009)
    Gorin, Valérie
    ;
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    Les dits et les scènes du fait divers
    (Genève/Paris: Droz, 2004)
    Le fait divers intéresse, dérange, indigne ou passionne, mais il laisse rarement indifférent. Il constitue aussi un genre médiatique qu'une analyse des discours et des images élaborés dans la presse écrite permet de qualifier. L'ouvrage recense, dans une 1ère partie, les connaissances disponibles sur le genre, tout en soulevant les principaux problèmes qui lui sont liés. S'esquisse ainsi une définition sommaire du sujet, qu'il convient alors de discuter à la lumière d'une analyse, dont la seconde partie examine l'objectif, les limites et la méthode. Elle estime notamment les termes épistémologiques et méthodologiques d'une analyse narratologique du fait divers, qui s'appuie sur la définition du récit proposée par Paul Ricoeur. La dernière partie rend compte des résultats de l'analyse d'un large corpus collecté dans la presse francophone européenne. En y appréciant les dits (l'écriture) et les scènes (la mise en scène de l'intrigue et son façonnage), elle renouvelle la définition du genre du fait divers.
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    La crise de la « vache folle ». Entrecôte et peurs ancestrales
    (Bruxelles: Académia-Bruylant, 1997) ;
    Marion, Philippe
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    Le journalisme d’investigation à l’ère du numérique. Du mythe au renouvellement
    (2017-1-17)
    Le journalisme a connu de nombreuses crises dans sa courte histoire ; la dernière en date semble toutefois plus massive et plus bouleversante que les précédentes. La profession vit en effet une période de bouleversements majeurs, dûs en grande partie à l’avènement de l’ère numérique et à ses conséquences. Dans ce contexte, l’image sociale des journalistes s’est encore « dégradée » (Neveu, 2001, 93), l’« ampleur de la défiance » (Charon, 1993, 13) envers les professionnels est encore plus considérable - comme en attestent divers sondages (notamment : www.tns-sofres.com/publications/barometre-2016-de-confiance-des-francais- dans-les-media), débats publics ou même ouvrages de professionnels aux titres évocateurs parus ces dix dernières années (par ex : A-t-on encore besoin des journalistes ? / Notre métier a mal tourné / ...). Cette crise d’image est dûe au moins autant aux fautes commises à certaines occasions par certains professionnels (fautes immédiatement visibles et surexposées par nature) qu’aux attentes considérables et très positives (mais parfois surévaluées) que suscite cette profession dans l’espace public. Ces attentes sont souvent entachées de stéréotypes et confortées par des mythes sur le rôle du journalisme et sa nature. Comme tous les mythes, ces derniers sont à la fois utiles socialement, en termes de cohésion, d’identité professionnelle ou d’explication, mais ils sont aussi excessivement simplificateurs et déformants. C’est du côté positif (mais aussi surévalué) de l’image du journalisme que se situe l’investigation (ou « enquête », les deux termes seront ici employés comme des synonymes), genre sur lequel, chose étonnante dans un champ aussi disputé, tout le monde est à peu près d’accord : l’investigation, c’est bien, c’est noble, c’est nécessaire, c’est l’honneur du journalisme... Ce genre est donc crédité d’un préjugé très positif, qui interpelle dans le cadre de la durable crise d’image évoquée plus haut.
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