Voici les éléments 1 - 6 sur 6
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    « Unveröffentlichte Zeichnungen von Johann Wilhelm Baur im Besitz der Harvard University »
    (Venise: Marsilio, 2001)
    24 unpublished drawings of Johann Wilhelm Baur (1607 - 1642) kept in the Houghton Library, Harvard University
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    « Johann Wilhelm Baur, la vie et l’œuvre »
    (Paris: Société nouvelle Adam Biro, 1998)
    Catalogue de la première exposition monographique sur Baur que les Musées de Strasbourg ont consacré à cet artiste strasbourgeois. Redécouvert au début du 20e siècle après plus d’un siècle d’oubli, le miniaturiste, dessinateur et graveur strasbourgeois Johann Wilhelm Baur a partagé sa carrière entre Rome, Naples et Vienne. Après une formation de dix ans dans l’atelier de Friedrich Brentel, il quitte vers 1628 sa ville natale pour entreprendre l’incontournable voyage en Italie. Peu d’artistes allemands de la première moitié du 17e siècle ont obtenu aussi rapidement la faveur des Farnese, Colonna, Orsini, Borghese et surtout du futur cardinal Mazarin. Sensibilisé par Brentel à l’art de Paul Bril et d’Adam Elsheimer, Baur réalise des miniatures sur parchemin très prisées alors des collectionneurs romains. Créateur des « vedute » de luxe, il transpose les vues gravées de Rome en miniatures à la gouache. Ce genre lui assure le succès dès son arrivée en 1637 à Vienne, où la cour de Ferdinand III nourrit un véritable engouement pour l’ « italianité ». Parallèlement à cette activité de védutiste, Baur réalise de 1639 à 1641 le chef-d’œuvre de sa carrière, l’illustration des Métamorphoses d’Ovide en 151 planches gravées à l’eau-forte. Baur est l’une des personnalités prépondérantes dans la diffusion en Allemagne de l’expression du baroque romain à son apogée.
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    « Le recueil de la collection Reiber »
    (Paris: Société nouvelle Adam Biro, 1998)
    Redécouvert au début du 20e siècle après plus d’un siècle d’oubli, le miniaturiste, dessinateur et graveur strasbourgeois Johann Wilhelm Baur a partagé sa carrière entre Rome, Naples et Vienne. Après une formation de dix ans dans l’atelier de Friedrich Brentel, il quitte vers 1628 sa ville natale pour entreprendre l’incontournable voyage en Italie. Peu d’artistes allemands de la première moitié du 17e siècle ont obtenu aussi rapidement la faveur des Farnese, Colonna, Orsini, Borghese et surtout du futur cardinal Mazarin. Sensibilisé par Brentel à l’art de Paul Bril et d’Adam Elsheimer, Baur réalise des miniatures sur parchemin très prisées alors des collectionneurs romains. Créateur des « vedute » de luxe, il transpose les vues gravées de Rome en miniatures à la gouache. Ce genre lui assure le succès dès son arrivée en 1637 à Vienne, où la cour de Ferdinand III nourrit un véritable engouement pour l’ « italianité ». Parallèlement à cette activité de védutiste, Baur réalise de 1639 à 1641 le chef-d’œuvre de sa carrière, l’illustration des Métamorphoses d’Ovide en 151 planches gravées à l’eau-forte. Baur est l’une des personnalités prépondérantes dans la diffusion en Allemagne de l’expression du baroque romain à son apogée.
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    « La fortune critique »
    (Paris: Société nouvelle Adam Biro, 1998)
    Redécouvert au début du 20e siècle après plus d’un siècle d’oubli, le miniaturiste, dessinateur et graveur strasbourgeois Johann Wilhelm Baur a partagé sa carrière entre Rome, Naples et Vienne. Après une formation de dix ans dans l’atelier de Friedrich Brentel, il quitte vers 1628 sa ville natale pour entreprendre l’incontournable voyage en Italie. Peu d’artistes allemands de la première moitié du 17e siècle ont obtenu aussi rapidement la faveur des Farnese, Colonna, Orsini, Borghese et surtout du futur cardinal Mazarin. Sensibilisé par Brentel à l’art de Paul Bril et d’Adam Elsheimer, Baur réalise des miniatures sur parchemin très prisées alors des collectionneurs romains. Créateur des « vedute » de luxe, il transpose les vues gravées de Rome en miniatures à la gouache. Ce genre lui assure le succès dès son arrivée en 1637 à Vienne, où la cour de Ferdinand III nourrit un véritable engouement pour l’ « italianité ». Parallèlement à cette activité de védutiste, Baur réalise de 1639 à 1641 le chef-d’œuvre de sa carrière, l’illustration des Métamorphoses d’Ovide en 151 planches gravées à l’eau-forte. Baur est l’une des personnalités prépondérantes dans la diffusion en Allemagne de l’expression du baroque romain à son apogée.
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    Johann Wilhelm Baur (1607–1642) – Ein Wegbereiter der barocken Kunst in Deutschland
    (Tübingen: Ernst Wasmuth, 1997)
    Thèse de doctorat: Redécouvert au début du 20e siècle après plus d’un siècle d’oubli, le miniaturiste, dessinateur et graveur strasbourgeois Johann Wilhelm Baur a partagé sa carrière entre Rome, Naples et Vienne. Après une formation de dix ans dans l’atelier de Friedrich Brentel, il quitte vers 1628 sa ville natale pour entreprendre l’incontournable voyage en Italie. Peu d’artistes allemands de la première moitié du 17e siècle ont obtenu aussi rapidement la faveur des Farnese, Colonna, Orsini, Borghese et surtout du futur cardinal Mazarin. Sensibilisé par Brentel à l’art de Paul Bril et d’Adam Elsheimer, Baur réalise des miniatures sur parchemin très prisées alors des collectionneurs romains. Créateur des « vedute » de luxe, il transpose les vues gravées de Rome en miniatures à la gouache. Ce genre lui assure le succès dès son arrivée en 1637 à Vienne, où la cour de Ferdinand III nourrit un véritable engouement pour l’ « italianité ». Parallèlement à cette activité de védutiste, Baur réalise de 1639 à 1641 le chef-d’œuvre de sa carrière, l’illustration des Métamorphoses d’Ovide en 151 planches gravées à l’eau-forte. Baur est l’une des personnalités prépondérantes dans la diffusion en Allemagne de l’expression du baroque romain à son apogée.
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    « Mazarin collectionneur. Les miniatures de Johann Wilhelm Baur (1607–1642) au Louvre »
    Giulio Mazzarino, qui devint en 1641 le cardinal Mazarin, fut l’un des premiers grands admirateurs et le premier commanditaire de l’artiste Johann Wilhelm Baur (Strasbourg 1607 – Vienne 1642). Les dix miniatures de l’artiste que possède le Louvre proviennent de la collection du cardinal Mazarin. On y trouve les premières gouaches de Baur qui nous soient parvenues et que l’on peut dater vers 1630.