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Pic, Muriel
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Pic, Muriel
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Ancien.ne collaborateur.trice
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Voici les éléments 1 - 10 sur 68
- PublicationMétadonnées seulementLa fiction documentaire. Devinette, deuil, divination(2014-6)Numéro sous la direction de S. Bonciarelli, A. Reverseau et C. van den Bergh.
- PublicationMétadonnées seulementLe poète, le critique et la prophétie(2014-6)Numéro sous la direction de Stéphanie Cudré-Mauroux.
- PublicationMétadonnées seulement
- PublicationAccès libreEdith Boissonnas - Jean Dubuffet. La vie est libre. Correspondance et critiques 1945-1980Textes présentés par Muriel Pic. Edition établie et annotée par Muriel Pic avec la collaboration de Simon Miaz Le lecteur pour qui « la vie est libre » découvrira ce volume avec un plaisir sans mélange. La drôlerie des lettres de Jean Dubuffet (1901-1985) ne le laissera pas sans sourire et il ne pourra qu’être charmé par l’étrange naïveté du style d’Edith Boissonnas (1904-1989). L’immédiate familiarité avec laquelle le peintre s’adresse à la poétesse nous fait entrer de plain-pied dans une correspondance qui commence à l’automne 1945. Boissonnas, qui vient de quitter la Suisse pour s’installer à Paris, rencontre Dubuffet grâce à Jean Paulhan, son éditeur chez Gallimard. Entre l’écrivaine à ses heures éleveuse de serpent et l’artiste féru de bestiaires, une chose est sûre : il n’est d’art véritable qu’à l’état sauvage. Cette conviction commune donne à la critique de Boissonnas sur le peintre une incroyable justesse et elle anime une correspondance où, des premières aux dernières lettres en 1980, Dubuffet s’impose comme un extraordinaire épistolier.
- PublicationAccès libreEdith Boissonnas, Henri Michaux, Jean Paulhan. Mescaline 55Préface de Muriel Pic. Edition établie et annotée par Muriel Pic, avec la participation de Simon Miaz. Ce livre réunit les témoignages d'Edith BOISSONNAS, poétesse suisse (1904-1989), de Henri MICHAUX et de Jean PAULHAN, consacrés à leurs premières expériences de cette drogue psychotrope, en janvier 1955. Le dimanche 2 janvier 1955, la poétesse suisse Edith Boissonnas retrouve son ami et éditeur Jean Paulhan devant le 16, rue Séguier, où vit Henri Michaux. Dans la poche de Paulhan, des ampoules de mescaline, hallucinogène que lui a procuré le neuropsychiatre Julian de Ajuriaguerra. Après cette journée inaugurale, l'expérimentation sera renouvelée deux fois, les 3 et 9 janvier. Dans les notes (inédites) de son Journal pour moi seule, Boissonnas rend compte de ces expérimentations dont Michaux résumera la déception : « J.P. en cinq mots dit notre pensée à tous. "On n'en sort pas fier". Des trois que nous étions, aucun n'avait donc pris cela avec révérence, mais plutôt comme un tour de prestidigitateur. » Ces journées de janvier 1955 vont pourtant être la source d'une constellation d'écrits, ici réunis par ordre chronologique : échanges épistolaires, proses descriptives, notes cliniques, micro-récits fictionnels, fragments d'essais et poèmes documentaires. Chacun s'acquittera également d'un texte abouti : Boissonnas publie « Mescaline » (1955), Paulhan écrit « Petit rapport sur une expérience » (1955) et Michaux livre Misérable miracle (1956), premier volume de son œuvre consacrée aux drogues, comptant encore quatre ouvrages et une centaine de dessins.
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