Voici les éléments 1 - 10 sur 13
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    Plancher poussières d'astres
    (Carouge-Genève: Editions Zoé, 2014) ; ;
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    Edith Boissonnas - Jean Dubuffet. La vie est libre. Correspondance et critiques 1945-1980
    (Carouge-Genève: Editions Zoé, 2014) ;
    Textes présentés par Muriel Pic. Edition établie et annotée par Muriel Pic avec la collaboration de Simon Miaz Le lecteur pour qui « la vie est libre » découvrira ce volume avec un plaisir sans mélange. La drôlerie des lettres de Jean Dubuffet (1901-1985) ne le laissera pas sans sourire et il ne pourra qu’être charmé par l’étrange naïveté du style d’Edith Boissonnas (1904-1989). L’immédiate familiarité avec laquelle le peintre s’adresse à la poétesse nous fait entrer de plain-pied dans une correspondance qui commence à l’automne 1945. Boissonnas, qui vient de quitter la Suisse pour s’installer à Paris, rencontre Dubuffet grâce à Jean Paulhan, son éditeur chez Gallimard. Entre l’écrivaine à ses heures éleveuse de serpent et l’artiste féru de bestiaires, une chose est sûre : il n’est d’art véritable qu’à l’état sauvage. Cette conviction commune donne à la critique de Boissonnas sur le peintre une incroyable justesse et elle anime une correspondance où, des premières aux dernières lettres en 1980, Dubuffet s’impose comme un extraordinaire épistolier.
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    Edith Boissonnas, Henri Michaux, Jean Paulhan. Mescaline 55
    (Paris: Editions Claire Paulhan, 2014)
    Préface de Muriel Pic. Edition établie et annotée par Muriel Pic, avec la participation de Simon Miaz. Ce livre réunit les témoignages d'Edith BOISSONNAS, poétesse suisse (1904-1989), de Henri MICHAUX et de Jean PAULHAN, consacrés à leurs premières expériences de cette drogue psychotrope, en janvier 1955. Le dimanche 2 janvier 1955, la poétesse suisse Edith Boissonnas retrouve son ami et éditeur Jean Paulhan devant le 16, rue Séguier, où vit Henri Michaux. Dans la poche de Paulhan, des ampoules de mescaline, hallucinogène que lui a procuré le neuropsychiatre Julian de Ajuriaguerra. Après cette journée inaugurale, l'expérimentation sera renouvelée deux fois, les 3 et 9 janvier. Dans les notes (inédites) de son Journal pour moi seule, Boissonnas rend compte de ces expérimentations dont Michaux résumera la déception : « J.P. en cinq mots dit notre pensée à tous. "On n'en sort pas fier". Des trois que nous étions, aucun n'avait donc pris cela avec révérence, mais plutôt comme un tour de prestidigitateur. » Ces journées de janvier 1955 vont pourtant être la source d'une constellation d'écrits, ici réunis par ordre chronologique : échanges épistolaires, proses descriptives, notes cliniques, micro-récits fictionnels, fragments d'essais et poèmes documentaires. Chacun s'acquittera également d'un texte abouti : Boissonnas publie « Mescaline » (1955), Paulhan écrit « Petit rapport sur une expérience » (1955) et Michaux livre Misérable miracle (1956), premier volume de son œuvre consacrée aux drogues, comptant encore quatre ouvrages et une centaine de dessins.
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    Edith Boissonnas au Collège de sociologie
    (Paris: Editions de Minuit, 2013)
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    Walter Benjamin et le Collège de sociologie
    (Paris: Editions de Minuit, 2013) ;
    Marcus Coelen et Muriel Pic
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    Georges Bataille. D'un monde l'autre
    (Paris: Editions de Minuit, 2013) ;
    Fabre, Pierre-Antoine
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    Roger, Philippe
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    ''Loin des livres, le bonheur ? Les personnages de sauvageons illettrés chez Rousseau, Bernardin de Saint-Pierre et Isabelle de Charrière''
    (Nantes: Editions nouvelles Cécile Defaut, 2012) ; ;
    Selmeci Castioni, Barbara
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    L’Emile de Rousseau, Paul et Virginie de Bernardin de Saint-Pierre et Sainte Anne d’Isabelle de Charrière ont pour particularité de présenter des personnages en difficulté avec les livres. Dans le sillage du Discours sur les sciences et les arts, le plaidoyer paradoxal en faveur de l’ignorance heureuse auquel se livrent ces auteurs traduit une inquiétude de la pensée des Lumières qui parcourt aussi l’Encyclopédie : si le livre est un outil qui permet de comprendre le monde et un instrument par lequel la mémoire se transmet, la médiation qu’il instaure entre le sujet connaissant et le monde est toujours une mise à distance de l’expérience. A ce titre, le livre est toujours susceptible de corrompre la perception de l’objet et l’individu lui-même. Chez les trois auteurs étudiés dans cet article, cette défiance envers les livres se métamorphose en fin de compte en une expérience de réconciliation avec eux. Celle-ci s’opère chez Rousseau et chez Bernardin de Saint-Pierre par la dimension mystique que revêt la lecture de ces œuvres sommes ou testaments que sont La Nouvelle Héloïse, les Rêveries et Paul et Virginie. Le propos est toutefois assez différent chez Isabelle de Charrière : jetant dans les années 1790 un regard rétrospectif sur l’héritage des Lumières, elle s’interroge sur ces phénomènes parallèles et conjoints que sont la quête de savoir des philosophes d’une part et le désir d’un retour à l’innocence d’autre part. Sensible au vide laissé par la disparition des croyances traditionnelles, Isabelle de Charrière ne propose pas de méditation nostalgique sur la fin de l’innocence, mais développe une réflexion de nature essentiellement critique.
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    La Pensée sans abri. Non-savoir et littérature
    (Nantes: Editions nouvelles Cécile Defaut, 2012) ;
    Selmeci Castioni, Barbara
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