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Zarin-Nejadan, Milad
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Economie et financement de la santé
2022, Zarin-Nejadan, Milad, Schönenberger, Alain
La santé est un facteur essentiel du bonheur et du bien-être des individus. De surcroît, une meilleure santé de la population contribue grandement à la prospérité individuelle et collective via l’espérance de vie, la productivité et l’épargne. C’est pourquoi une part importante (et grandissante) des ressources productives des sociétés modernes est consacrée au secteur de la santé. Or, compte tenu de la rareté des ressources, cela pose naturellement la question du coût d’opportunité de ce secteur, les biens et services de santé n’étant de loin pas les seuls à être produits et consommés. Par ailleurs, en raison de son importance et ses particularités, le secteur de la santé se trouve être le théâtre de diverses interventions étatiques, y compris par le biais des assurances sociales. Cela mène automatiquement à des interrogations légitimes sur la nécessité, la nature, l’ampleur et les conséquences économiques des politiques publiques dans ce domaine, en particulier sur les plans d’efficience et d’équité. Ce chapitre est consacré à l’économie et la politique de la santé, avec une référence particulière au cas de la Suisse. Il est divisé en cinq sections. La première section présente les principes économiques qui régissent les marchés des biens et services de santé, en termes d’offre et de demande, fortement influencées par la présence de l’assurance-maladie et le double-rôle allocatif et redistributif de l’État. La deuxième section atteste la bonne qualité du système de santé suisse en comparaison internationale. Les deux sections suivantes abordent le revers de la médaille d’un système de qualité, à savoir les coûts et les dépenses de santé, particulièrement importants en Suisse. Finalement, la dernière section souligne l’importance de l’information sur la qualité des prestations et passe brièvement en revue le potentiel de gains d’efficience dans différents segments du système de santé.
Rôle économique de l'Etat
2022, Zarin-Nejadan, Milad
De nos jours, l’État occupe une part importante, parfois même prépondérante, de l’activité économique dans la quasi-totalité des pays de la planète. La taille relative du secteur public n’a fait que croître tendanciellement depuis plus d’un siècle au détriment du secteur privé. L’interrogation sur la place de l’État dans les économies de marché paraît alors à juste titre une des questions les plus fondamentales et les plus controversées en économie politique. Force est de constater qu’à cet égard les positions sont souvent tranchées et les débats vifs mais arides car fortement teintés d’idéologie. Or, l’impact économique, politique et social des activités étatiques dans nos économies est devenu tel qu’il suscite une indispensable réflexion – sans parti pris – sur la nécessité des interventions de l’État dans les divers domaines et une remise en question de leurs bienfaits. Ce chapitre est consacré à un survol des fondements théoriques des interventions de l’État dans l’économie. Il est divisé en deux sections. La première section retrace les origines et caractérise l’évolution de la conception du rôle économique de l’État. La seconde section passe en revue les différentes circonstances dans lesquelles l’État est appelé à intervenir dans les économies de marché.
Economie et fînances publiques
2017, Zarin-Nejadan, Milad, Weber, Luc, Schönenberger, Alain
L'ouvrage est consacré à l’analyse économique de l’activité de l’Etat et des administrations publiques. Avec sa quote-part au produit intérieur brut qui a quadruplé en un siècle, l’Etat joue désormais un rôle économique considérable. Son omniprésence suscite depuis très longtemps la curiosité des chercheurs en sciences de la société et en droit. La gestion de l’État, souvent dominée par les rapports de force politiques et les intérêts des groupes de pression, devrait reposer sur un examen rigoureux, sans à priori idéologique. Or, l’économie et les finances publiques apportent un cadre de référence structuré en analysant logiquement les situations et problèmes et en proposant des solutions, deux conditions nécessaires, si ce n’est suffisantes, pour une action rationnelle. Afin de mieux comprendre et juger du bien-fondé de l’activité économique de l’Etat, l'ouvrage analyse les diverses fonctions de l’Etat, son financement, son organisation, sa gestion et son impact sur l’économie avec les outils d’investigation théorique les plus pertinents.
Economics in the aftermath of the global financial crisis: a text mining approach
2015, Roquet, Hervé, Zarin-Nejadan, Milad, Stoffe, Kilian
En utilisant plusieurs techniques de text mining sur 28’974 résumés d’articles scientifiques provenant de 16 revues parmi les plus influentes de la science économique et du Bureau National de Recherche Économique (NBER), j’explore l'état de la science économique dominante au sortir de la crise financière et économique de 2007-2009. Au travers des variations de la fréquence relative des termes économiques les plus utilisés, je montre que le noyau de la science économique n'a pas changé, sauf pour l'augmentation faible, mais significative, du nombre d’articles concernant des sujets liés à la finance et au risque. Je présente des résultats montrant que des changements secondaires se sont produits à la périphérie de l'économie dominante, entre autres : - la baisse de l'importance du Japon et la Grande-Bretagne ; - l'importance grandissante de la Chine ; - la présence croissante d’articles traitant de thématiques liées à l'énergie, au pétrole et au changement climatique ; - l’augmentation de l’utilisation de nouvelles méthodes telles que la modélisation d’équilibre général dynamique stochastique ou la régression discontinue. Par l’analyse des principaux clusters de la science économique, je présente ensuite des données montrant une science ayant une forte cohésion paradigmatique fondée sur sa méthodologie. J’analyse l’absence de changements majeurs dans l'économie dominante suite à la crise en me concentrant sur sa forte dépendance à des méthodes mathématiques déductivistes., Using several text mining techniques on 28,974 abstracts coming from 16 of the most influential academic journals in economics and the National Bureau of Economic Research (NBER), I explore the state of mainstream economics in the aftermath of the financial and economic 2007-2009 crisis. Exploring the variation in the relative term frequency of the most used economic terms, I find that the core of the economic discipline did not change except for the small but significant increase in focus on finance and risk related topics. I present evidence showing that secondary changes occurring at the periphery of mainstream economics are visible. Among others : the drop of importance of Japan and Britain, the increased importance of China, the increased focus on energy, oil and climate change topics, and the rise in the usage of new methods like regression discontinuity or Dynamic Stochastic General Equilibrium (DSGE) modeling. Using cluster analysis, I find evidences depicting economics as a monolithic science with a strong paradigmatic cohesion rooted in its methodology. I discuss the absence of major changes in mainstream economics by focusing on its strong reliance on mathematical deductivist methods.
Réforme fiscale
2022, Zarin-Nejadan, Milad
La réforme fiscale a suscité un grand intérêt dans les pays de l’OCDE au cours des quatre dernières décennies. Cela s’explique par les inquiétudes légitimes provoquées par les systèmes fiscaux hérités du passé, non seulement en raison des inefficiences qu’ils provoquent en interférant dans les décisions des agents économiques, mais aussi parce qu’ils sont souvent jugés injustes, trop complexes et permissives face à la soustraction et l’évasion fiscale. De plus, compte tenu du niveau déjà élevé de la pression fiscale et des distorsions importantes occasionnées par les systèmes d’imposition, il devient difficile d’accroître les recettes fiscales lorsque cela s’avère nécessaire pour contenir le déficit de l’État sans mettre en péril de manière irrémédiable la croissance économique et l’emploi. Ce chapitre est un survol des principes de base, des motivations et des enjeux de la réforme fiscale dans les pays industrialisés. Il est divisé en six sections. La première section définit les contours d’un « bon » système fiscal avant de présenter de manière schématique la genèse et la conduite d’une réforme fiscale. La deuxième section caractérise les grandes tendances en matière de fiscalité dans les pays de l’OCDE durant les dernières décennies et cherche à identifier les motifs communs derrière les réformes entreprises. La troisième section se penche plus particulièrement sur la fiscalité (des revenus) du capital qui a été – et continue d’être – le théâtre d’un grand nombre d’initiatives de réforme touchant l’imposition des personnes morales et physiques. La quatrième section passe en revue quelques autres sujets d’actualité fiscale. La cinquième section aborde de manière critique un des leitmotivs de réforme, à savoir la concurrence fiscale internationale. Finalement, en guise de conclusion, la dernière section esquisse des perspectives de réforme pour les années à venir. L’Annexe à la fin du chapitre est consacrée à la problématique de la mesure statistique de la pression fiscale.
Gestion de l’énergie : les entreprises suisses peuvent faire mieux
2019-9-23, Zarin-Nejadan, Milad, Schönenberger, Alain
Une enquête menée auprès des grands consommateurs d’énergie a permis de décrire le système de gestion énergétique en place au sein des entreprises suisses. Ses principaux déterminants ainsi que son impact sur les investissements et la performance énergétiques ont pu être mis en évidence. Globalement, les résultats montrent que le niveau de la gestion énergétique est (encore) insuffisant et ne semble pas être corrélé avec les coûts énergétiques. Une politique publique soutenant la mise en œuvre d’une stratégie énergétique au sein des entreprises a toutefois un impact favorable sur les investissements en efficacité énergétique.
Sustainable Business Growth : How May Decision-Making Guide The Transition Journey ?
2017, Schwab, Leila, Reiner, Gerald, Zarin-Nejadan, Milad
During periods of intense growth, bankruptcy is an imminent threat to the success of companies. Continuous adaptation of internal capacity, processes and operations is a challenging task that not all companies achieve successfully. Many small or medium-sized enterprises (SME) disappear as fast as they grow and managers often feel frustrated about practical recommendations towards growth; this is mainly due to the significant number of decisions that managers have to make on a regular basis when the company grows. Finding a way to reduce the risk of bankruptcy during intense periods of growth is therefore a great need. Sustainable business growth is a company’s appropriate pace of growth that increases its economic, social and environmental capital—or at least one of these—without decreasing any capital stock. The objective of this research is to provide solutions to growing firms’ managers in order to guide the transition journey of their SMEs towards sustainable business growth. This research specifically investigates what type of decisions managers have to make during growth, what impact these decisions have on the growth trajectory of the firm and how the risk of bankruptcy can be measured during growth. The thesis is segmented in three research studies– each of them building upon the previous one. First, the author proposes a classification framework of the main types of decisions to be considered by growing firms; by conducting a case study with several embedded units of analysis, the author zooms into specific decisions and identifies three main patterns (a series of steps that have to be followed by the decision-maker) of decisions and represents them visually. Second, the author conducts a longitudinal case study in a Swiss family-owned SME wood construction company that has experienced a process of intense growth between 2010 and 2015; in total 492 decisions made during this period have been collected and analysed so as to investigate their impact on the growth trajectory of the company. Results show that growing SMEs can take advantage of their growth to improve their performance by being more efficient, by fully considering social aspects and by integrating stakeholders more comprehensively. Third, the author builds a multi-method simulation model with the objective to represent a company’s operations evolution during growth as well as the decision-making process inherent to business growth. The model combines two major techniques, namely system dynamics (SD) and agent-based (AB) modelling. Calibration allows fitting the model behaviour to reality based on the empirical longitudinal case study data, thus enhancing its validity. Simulation output indicates that only 21,10% of the runs launched allow the company to maintain solvency; growing firms go bankrupt in 79,90% of the cases. Sensitivity analyses help with identifying that the efficiency of the decision-making process highly influences the risk of bankruptcy; several key performance indicators (KPIs) also influence the growth trajectory such as the credit limit allowed by the bank, the rapidity at which clients pay their invoices and the proportion between temporary and permanent employees applied by the firm. An ideal combination of parameters’ values increases the probability to sustainable growth to 69% - compared to only 21% in the initial situation. Even if it seems as though luck is an important factor to experiencing sustainable growth, specific and tangible advice is provided to SME managers as well as to their financial partners, which can positively affect the growth trajectories of their firms. This thesis confirms that decisions made during growth periods have a strong impact on positively influencing the trajectory of growing SMEs and that this impact can be quantified. It allows measuring the probability of sustainable business growth and gives specific answers on how to increase it.
Finances et politiques publiques en Suisse
2022, Zarin-Nejadan, Milad, Schönenberger, Alain
Cet ouvrage offre une vue d’ensemble de l’économie du secteur public et de la conception des grands programmes gouvernementaux en Suisse. Les finances publiques et leur gestion constituent depuis plusieurs décennies un sujet de préoccupation majeur dans les pays industrialisés, plus récemment avec l’accélération de la globalisation économique, les crises financières ou sanitaires, ou les bouleversements dus au réchauffement climatique. L’approche des 13 chapitres est à la fois positive – comment les interventions de l’État influencent-elles le comportement des entreprises et des ménages ? – et normative – comment concevoir les interventions de l’État pour qu’elles aient les meilleures chances d’atteindre leur but. La juxtaposition des chapitres thématiques, qui peuvent être lus séparément, présente les fondements théoriques qui expliquent comment la théorie économique peut être utilisée pour accroître l’efficience et l’efficacité des politiques publiques. Destiné à un lectorat intéressé par les questions de politiques et de finances publiques, cet ouvrage, qui est le fruit de nombreuses années d’expérience d’enseignement accumulée par les auteurs dans le cadre des cours de formation continue universitaire, offre un vaste panorama du rôle économique de l’État et de ses mécanismes de fonctionnement, sans que le lecteur soit nécessairement armé d’outils d’analyse économique.
The Impact of Official Development Assistance on the Donor’s Economy: The Case of Switzerland
2018, Lopez, Luciano, Zarin-Nejadan, Milad
Cette thèse analyse l'impact économique de l'Aide Publique au Développement (APD) sur le pays donateur pour le cas de la Suisse. Comme première étape, le chapitre 1 discute d'une approche « flux de fonds » pour quantifier l'impact de l'APD bilatérale et multilatérale sur l'économie du pays donateur. Cette méthodologie simple mais rigoureuse, permet de calculer l'impact primaire (immédiat) ainsi que l'impact final de l'APD sur l'économie domestique. Nous trouvons, pour l'année 2014, un effet primaire se situant entre 70 et 90 centimes pour chaque franc suisse fourni. Concernant l'effet final, calculé à l'aide d'un multiplicateur keynésien, il se situe entre 1,19 et 1,56 franc. En plus de ces effets, l'APD, en particulier l'APD bilatérale, peut induire des exportations du pays donateurs vers les pays receveurs. Cette hypothèse est testée dans les chapitres suivants à l'aide d'analyse de séries temporelles et de modélisation économétrique structurelle basées sur des données de panel. Le chapitre 2, comme étape préliminaire en vue du chapitre 3, discute et développe une méthode statistique, à savoir le test de non-causalité de Granger élaboré par Dumitrescu et Hurlin (DH), qui permet la détection de liens de causalité entre n'importe quelle paire de séries temporelles basée sur des données de panel. En particulier, le chapitre présente la commande xtgcause, implémentée dans le logiciel Stata et qui permet d'effectuer des « DH Granger non-causality tests ». Le chapitre 3, utilise la méthode décrite dans le chapitre 2 pour examiner l'existence et le sens de causalité entre l'aide publique bilatérale suisse et les exportations suisses. Les résultats révèlent une causalité bidirectionnelle au sens de Granger. En d'autres termes, les exportations suisses vers les pays receveurs d'APD sont Granger-causées par les flux d'APD et vice-versa. Finalement, le chapitre 4 mesure l'ampleur de l'effet induit de l'APD bilatérale sur les exportations suisses. Pour ce faire, un modèle gravitationnel de commerce international est utilisé. Les résultats montrent un retour de l'APD à travers les exportations de 0,59 USD pour chaque USD d'APD alloué à court terme (modèle statique) et de jusqu'à 1,73 USD à long terme (modèle dynamique). Les résultats obtenus sont importants en termes d'implications politiques et ce pour plusieurs raisons, notamment en fournissant aux preneurs de décisions une vision plus complète du coût (réel) de l'APD. ABSTRACT: This thesis investigates the impact of Official Development Assistance (ODA) on the donor's economy in the case of Switzerland. As a first step, chapter 1 discusses a flow-of-funds approach to quantify the impact of bilateral and multilateral ODA on the donor country's economy. The simple yet rigorous methodology employed allows to compute both, the primary (immediate) and the final impacts of ODA on the domestic GDP. We find for the year 2014 a primary effect of around 70 to 90 centimes for each Swiss franc of ODA provided. Regarding the final effect, computed by means of a Keynesian multiplier, it is found to lie between 1.19-1.56 franc. In addition to these effects, ODA, particularly bilateral ODA, may induce exports from the donor to the recipient countries. This hypothesis is tested in the following chapters using time-series and structural econometric modeling based on panel data. Chapter 2, as a preliminary step towards chapter 3, discusses and further develops a statistical method, namely the Dumitrescu-Hurlin (DH) Granger non-causality test that enables the verification of causal links between any pair of time series based on panel data. In particular, the chapter presents the user-written command xtgcause, implemented in the Stata software that allows for the computation of DH Granger non-causality tests. Chapter 3 employs the method discussed in chapter 2 to investigate the existence and direction of Granger causality between Swiss bilateral ODA and Swiss exports. The results reveal foremost bidirectional Granger causality. In other words, exports from Switzerland to the recipient countries are Granger-caused by ODA flows and vice-versa. Finally, chapter 4 measures the magnitude of the induced effect of bilateral ODA on Swiss exports. To this end, an augmented-gravity trade model is employed. The results point towards a return through exports of 0.59 USD for each 1 USD of ODA allocated in the short run (static model) and of up to 1.73 USD in the long run (dynamic model). These results are important in terms of policy implications on several accounts, not the least of which is providing decision makers with a more comprehensive view of the (real) costs of ODA.
Retombées économiques de l'aide publique au développement en Suisse - Etude 2014
2015-12-31, Zarin-Nejadan, Milad, Carbonnier, Gilles, Schönenberger, Alain, Ouni, Moez
Cette étude porte sur les effets économiques de l’aide publique au développement (APD) suisse en 2014. Elle examine les apports générés par les dépenses d’APD sur le produit intérieur brut et sur l’emploi en Suisse pour l’année 2014. L’approche méthodologique consiste à évaluer les effets économiques induits par les achats de biens et services ainsi que par les salaires versés au titre de l’APD. Dans une première étape, l’étude calcule l’impact des dépenses d’APD sur la demande globale (effet primaire) de biens et services en Suisse. L’effet primaire est la somme de trois effets induits par l’APD (bilatérale ou multilatérale): effet direct, effet de levier et effet indirect. L’effet direct se réfère aux versements (salaires versés pour des activités déployées dans le cadre de l’APD par les pouvoirs publics, les entreprises et les experts ou consultés et qui sont dépensés en Suisse. L’effet de levier concerne les éventuels co-financements privés obtenus dans le contexte de projets et programmes financés en partie par l’APD. Finalement, l’effet indirect est constitué par les achats de biens et services auprès des entreprises suisses de la part des organisations multilatérales. Ensuite, sur la base de l’estimation de l’effet primaire de l’APD sur l’économie suisse, l’étude calcule l’impact multiplicateur de cette hausse initiale de la demande sur le PIB et, par ce biais, estime l’impact en termes d’emplois.
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