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    Automatic identification of storytelling responses to past‐behavior interview questions via machine learning
    (2023) ; ;
    Skanda Muralidhar
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    Emmanuelle P. Kleinlogel
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    Daniel Gatica‐Perez
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    AbstractStructured interviews often feature past‐behavior questions, where applicants are asked to tell a story about past work experience. Applicants often experience difficulties producing such stories. Automatic analyses of applicant behavior in responding to past‐behavior questions may constitute a basis for delivering feedback and thus helping them improve their performance. We used machine learning algorithms to predict storytelling in transcribed speech of participants responding to past‐behavior questions in a simulated selection interview. Responses were coded as to whether they featured a story or not. For each story, utterances were also manually coded as to whether they described the situation, the task/action performed, or results obtained. The algorithms predicted whether a response features a story or not (best accuracy: 78%), as well as the count of situation, task/action, and response utterances. These findings contribute to better automatic identification of verbal responses to past‐behavior questions and may support automatic provision of feedback to applicants about their interview performance.
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    Physician behavioral adaptability: how physicians' tailoring of behavior to each patient's preferences is related to positive consultation outcomes
    (2016)
    Carrard, Valérie
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    ;
    Depuis l'émergence du modèle biopsychosocial d'Engel, la communication entre médecin et patient a gagné de plus en plus d’attention. La littérature foisonnante sur le sujet montre que la qualité de la communication du médecin a un impact sur les résultats de la consultation. De nos jours, en matière de communication médecin-patient, l’approche centrée sur le patient est préconisée. L'objectif principal de cette approche est de fournir des soins personnalisés aux spécificités de chaque patient. Jusqu'à présent, l'efficacité de l’approche centrée sur le patient a été étudiée en mesurant un ensemble définit de comportements, mais une étude de l’approche centrée sur le patient plus adaptée à son objectif fondamental serait de tester si les résultats de la consultation sont influencés par la façon dont le médecin adapte son comportement en fonction des préférences de chaque patient. Le présent travail vise à étudier ce processus appelé l'adaptabilité comportementale des médecins.
    Un modèle d'adaptabilité comportementale des médecins est proposé. Il conceptualise la manière dont les médecins infèrent les préférences des patients pour ensuite y adapter flexiblement leurs comportements. Le modèle postule que si les comportements du médecin correspondent alors aux préférences des patients, les résultats de la consultation seront plus positifs. Une partie du modèle est soutenu par une revue de littérature réalisée dans l'Article 1. Dans les Articles 2 et 3, la validité du modèle d'adaptabilité comportementale des médecins est testée par des études de terrain. Tout d'abord, nous avons démontré que plus les médecins montrent de la dominance non verbale envers un patient préférant plus de dominance (par rapport au patient préférant moins dominance), plus les résultats de la consultation sont positifs. Dans l'Article 3, nous avons montré que la capacité à lire les émotions d’autrui est liée à plus d'adaptabilité comportementale, mais seulement pour les femmes médecins. Les résultats ont également montré que plus les femmes médecins adaptent leurs comportement d’affiliation et de dominance plus les résultats de la consultation sont positifs, alors qu’un niveau élevé d’affiliation et faible de dominance, indépendamment des préférences des patients, n’est pas lié aux résultats de la consultation. Par conséquent, un ensemble de comportements non verbaux définis appliqué à tous les patients n’est pas la meilleure approche pour obtenir des résultats positifs lors d’une consultation.
    Dans la discussion, la contribution, les implications pratiques et les limites de ce travail sont présentés, ainsi que l'avenir et les perspectives prometteuses pour le concept d’adaptabilité comportementale., Since the emergence of Engel’s biopsychosocial model, communication between patient and physician has gained significant attention. The wealth of research on the subject shows that the quality of physician communication affects consultation outcomes. Nowadays, the advised approach in patient- physician communication is patient-centeredness. The primary goal of patient-centeredness is to provide customized care to each patient’s specificities. While the literature so far investigated the effectiveness of patient-centeredness by measuring a set of definite behaviors, a study of patient-centeredness more suitable to its fundamental purpose would be to test how physicians’ tailoring of behavior to each patient’s preferences is related to consultation outcomes. The present work aims to study this process called physician behavioral adaptability.
    A model of physician behavioral adaptability is proposed. It conceptualizes how physicians infer the patients’ preferences to then flexibly adapt their behaviors accordingly. The model posits that if the physician’s behaviors then match the patients’ preferences, more positive consultation outcomes will emerge. Parts of the model are supported by the literature review of Article 1. Articles 2 and 3 both tested the validity of the physician behavioral adaptability model in the field. First, we demonstrated that the more physicians displayed dominance nonverbal behaviors toward a patient preferring more dominance (compared to patient preferring less dominance), the more positive the consultation outcomes. In Article 3, we showed that better emotion recognition skills are related to more behavioral adaptability, but only for female physicians. Results also showed that female physicians’ behavioral adaptability regarding nonverbal affiliation and dominance is more related to positive consultation outcomes for the patients than displaying high levels of affiliation and low levels of dominance regardless of patients’ preferences. Therefore, a set of defined nonverbal behaviors applied to every patient is not the best approach to achieve positive consultation outcomes.
    In the discussion, the contribution, practical implications, and limitations of the present work are presented as well as the future and promising perspectives for the concept of behavioral adaptability.
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    Le développement de la confiance épistémique chez les jeunes enfants:: les enfants utilisent-ils le genre et l'âge de leurs sources informationnelles pour acquérir de nouvelles connaissances?
    Comment les jeunes enfants apprennent-ils d’autrui via le canal de la communication et comment contrôlent-ils les témoignages transmis par leur environnement social? Les recherches expérimentales de notre thèse de doctorat visent, d’une part, à mettre en évidence que, si le canal communicationnel constitue un moyen rapide et efficace d’augmenter leur stock de connaissances, les enfants sont pourtant peu enclins à considérer comme vraie une représentation qui leur est communiquée si celle-ci entre en conflit avec leur propre perception ou avec des connaissances préalablement stockées en mémoire. D’autre part, nos recherches empiriques ont l’originalité d’examiner le développement de la confiance épistémique sélective lorsque les enfants ne peuvent comparer l’information transmise avec leur propre background informationnel. Se basent-ils, dans ces conditions, sur des indices de nature sociale pour attribuer leur confiance? Si nos recherches empiriques se focalisent sur le développement de la confiance épistémique chez les enfants, un travail théorique propose en préambule une perspective intégrée de la confiance épistémique, avec l’hypothèse que différents types de mécanismes, tant de « bas niveau », suggérant un traitement quasi-automatique et très élémentaire de l’information, que de « haut niveau », soit plutôt réflexifs, participent aux prises de décisions fiduciaires. La confiance épistémique est ensuite discutée à la lumière du contexte de l’évolution de la communication, puis un état de l’art de la littérature spécialisée met en évidence comment et à quel moment les mécanismes de sélection des informations, définis en termes de mécanismes de vigilance épistémique, se développent chez les enfants. Notre partie empirique se destine à poursuivre ces travaux. Une première étude examine si l’âge de la source influence la confiance que va attribuer l’enfant pour acquérir une nouvelle information et dans quelle mesure cette attribution évolue entre l’âge de 2.5 et 5 ans. Un conflit entre l’indice de l’âge et de la fiabilité de la source est ensuite introduit, afin d’examiner si les préférences basées sur une même appartenance sociale sont robustes lorsque l’informateur similaire est étiqueté préalablement comme non fiable. Une deuxième étude examine ensuite l’influence de l'indice du genre, avec les mêmes questionnements sous‐jacents. Les résultats des deux études mettent en évidence que les enfants utilisent l’âge et le genre de la source lorsqu’ils ne disposent pas d’informations soulignant une différence de fiabilité entre celles-ci. Toutefois, ces indices ne sont pas utilisés systématiquement et leur utilisation diffère chez les enfants de 3, 4 ou 5 ans. En revanche, leurs résultats sont plus homogènes lorsqu’ils reçoivent des informations indiquant que la source à l’âge ou au genre similaire n’a pas eu d’accès informationnel. Dans ce cas, les enfants rejettent très clairement son témoignage autour de l’âge de 40 mois. Les enfants en-dessous de cet âge prennent également en compte l’accès informationnel des sources, mais de manière moins systématique. Nous proposons par conséquent certaines pistes développementales pour expliquer pourquoi les enfants les plus jeunes rencontrent encore des difficultés à sélectionner clairement la source fiable. Nous concluons ce travail en mettant en évidence comment les recherches conduites sur l’influence du genre et de l’âge d’une source informationnelle peuvent également générer des réflexions intéressantes pour les secteurs éducatifs et scolaires., How do young children acquire belief and knowledge from others’ testimony and how do they monitor and select fundamental pieces of information to learn about the world? The first aim of this experimental research is to emphasis that preschoolers, from an early age, are able to acquire various information by others, displaying skeptical trust in testimonies and selecting reliable epistemic informants. But despite its utility, this monitoring strategy has a major limitation because children cannot always access epistemic reliability of their sources in order to gauge their trustworthiness. Under these conditions, do children monitor specific social cues to acquire selectively new information? Thus, the second aim of this research is to examine if preschoolers use age and gender cues to selectively choose their informants. While this research specifically focuses on children development of selective trust in others testimony, a theoretical work suggests in introduction an integrated perspective of epistemic trust, suggesting that trust is underlined by both low and high cognitive processes, involving reflective judgment as well as tacit filtering device. Then, this work presents evidence to consider trust as a product of the human cognitive evolution and highlights the major milestones of selective trust development, defined as vigilance epistemic mechanisms. Afterwards the wide variety of cues young children use when evaluating testimony is reviewed. Our empirical work aims to follow up on the ongoing studies. In two studies, this research investigates how young preschoolers, from 2.5- to 5-year-olds, use a social cue (age for Study 1 and gender for Study 2) in the absence of other epistemic cue. Then, these studies combine a social cue with an epistemic cue (visual access) in order to examine if children social preference for similar sources weights more than their epistemic reliability. Both studies show that preschoolers use social cues as age and gender in the absence of other epistemic cues. However, both cues are not equally used by children and developmental differences were underlined. By contrast, results are more homogenous when an epistemic cue conflicts with a social cue. In fact, a key result is that preschoolers, as young as 40 months, are systematically able to give more weight to an epistemic cue than to a social cue when evaluating testimony. However, some children under 40 months did not clearly favor the epistemic cue, although they took it into account. We suggest some cognitive developmental issues to explain why they are sometimes unable to adequately select the testimony of the reliable informant. Finally, we connect the results of the studies with educational and scholar practical fields.
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    Emergent leaders through looking and speaking: From audio-visual data to multimodal recognition
    (2013-4-25)
    Sanchez-Cortes, Daira
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    Aran, Oya
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    Jayagopi, D
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    Gatica-Perez, Daniel
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    Finding the right interactional temperature: Do colder patients need more warmth in physician communication style?
    (2013-4-1) ; ;
    Jaunin, Nicole
    Cousin, G., Schmid Mast, M., & Jaunin, N. (2013). , 98,