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Michel de L'Hospital, Carmina, t. VI

2023, Petris, Loris, Chappuis Sandoz, Laure, Galand, Perrine, Amherdt, David, Stawarz-Luginbühl, Ruth

Le livre VI des Carmina de Michel de L’Hospital comprend treize épîtres hexamétriques composées entre 1562 et 1572, soit du début des guerres de religion au seuil de la Saint-Barthélemy. Deux épîtres sont adressées au cardinal de Lorraine et marquent la fin de la relation entre les deux hommes ; huit autres sont adressées à des serviteurs du roi (De Thou, Pibrac, Du Ferrier, Du Faur), à des juristes (Vacca) et à des philologues (Turnèbe, Corbinelli) ; enfin, trois sont dépourvues de destinataire précis. L’Hospital développe de profondes réflexions politiques, philosophiques, littéraires et religieuses. En sage observateur de son époque, dont il déplore les vices, il laisse une place de plus en plus ample à son idéal éthique et évangélique. La disgrâce du chancelier en 1568 nourrit une méditation sur la vieillesse et le salut. La mise en scène de la violence, physique ou verbale, offre au lecteur un miroir pour notre temps. L’édition fournit le texte latin établi sur les manuscrits collationnés avec les éditions imprimées de 1558 et 1732, une nouvelle traduction, en stiques, une présentation du contexte, une analyse et un commentaire. Le volume est complété d’une introduction, d’un index des lieux, des personnes et des matières.

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Correspondance du cardinal Jean Du Bellay, tome VI (1550-1555)

2015, Petris, Loris, Scheurer, Rémy, Amherdt, David, Guillod, Nathalie

Ce sixième volume de la correspondance de Jean du Bellay compte, entre juillet 1550 et avril 1555, quelque trois cents quarante lettres et mémoires, dont près des trois-quarts sont adressés à une quarantaine de correspondants, principalement le roi Henri II et le connétable Anne de Montmorency. Le soin mis par le secrétaire d’Etat Jean Duthier à conserver les dépêches venues d’Italie explique la bonne qualité de la transmission de ces documents. Par contre, hormis la vingtaine de lettres envoyées par la Balia de Sienne et enregistrées à l’expédition, il ne reste qu’une septantaine de lettres adressées à Jean du Bellay par une trentaine de correspondants. L’absence de Rome du cardinal de juillet 1550 à mai 1553 ainsi qu’une longue période de maladie expliquent en outre le petit nombre de textes retrouvés pour cette période vécue en France. Dès son quatrième séjour à Rome (1553-1560), Jean du Bellay est constamment mêlé, parfois très étroitement, aux affaires politico-religieuses du pontificat de Jules III. Souvent seul cardinal français présent à Rome, où il exerce de facto la fonction de protecteur des affaires de France, il intervient au-delà de l’attribution des bénéfices ecclésiastiques pour défendre les intérêts du roi et s’impliquer dans les relations avec les Etats italiens, allant jusqu’à mettre à disposition ses mules pour le ravitaillement de Sienne. A son habitude, Jean du Bellay commente les faits, donne son opinion sur les personnes, envisage les éventualités et suggère la voie à suivre. C’est donc un acteur de l’Histoire que révèle cette correspondance, mais aussi un collectionneur passionné d’antiquités et, dans le genre épistolaire, un véritable écrivain.

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Regards sur le paysage linguistique neuchâtelois (1734-1849) : le témoignage sociolinguistique des signalements policiers

2013, Kristol, Andres, Gendre, André, Kamber, Alain, Petris, Loris, Skupien Dekens, Carine

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Note sur l'emploi du pronom de troisième personne chez Gustave Flaubert

2013, Béguelin, Marie-José, Gendre, André, Kamber, Alain, Petris, Loris, Skupien Dekens, Carine

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Michel de L'Hospital, Carmina, t. III, éd. D. Amherdt, L. Chappuis-Sandoz, P. Galand et L. Petris, avec la collaboration de C. Guerra et R. Stawarz-Lüginbühl

2018, Chappuis Sandoz, Laure, Petris, Loris, Amherdt, David

Le livre III des Carmina de Michel de L’Hospital (1505-1573) comprend 18 épîtres hexamétriques, composées entre 1546 à 1558, à l’exception d’une pièce (III, 13), postérieure à la disgrâce du chancelier. Adressées à des prélats (dont le cardinal de Lorraine), à des juristes (Tiraqueau, Jean de Morel), à des parlementaires, au poète Macrin ou à Marguerite de France, elles oscillent entre discours cicéronien, sermo horatien et silve. Les pièces encomiastiques côtoient des réflexions éthiques et philosophiques fondées sur les valeurs de modération, de prudence et d’amitié, ainsi que d’importantes épîtres métapoétiques où le magistrat défend la dignité de la poésie, loisir noble associé à la paix ou à une retraite champêtre loin d’une ville où règnent intrigues, rumeurs et cupidité. On y relève en particulier une importante épître érasmienne à Jean de Morel sur l’importance de l’allaitement (III, 2), des liminaires parus en tête des oeuvres de Jean Du Bellay (III, 8 et 10) et André Tiraqueau (III, 17), une description paradoxale de Chambord (III, 16) ainsi qu’une épître à François Olivier sur sa disgrâce (III, 1). Cette édition, dans la continuité des livres I et II, fournit le texte latin établi sur les manuscrits collationnés avec les éditions imprimées de 1585 et 1732, une traduction en stiques, une présentation contextuelle, une analyse et un commentaire. Le volume est complété d’une introduction, d’un index des lieux, des personnes et des matières.

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La situation linguistique en Suisse romande au moment de la Réforme: L'exemple de Neuchâtel

2014, Skupien Dekens, Carine, Petris, Loris, Kamber, Alain, Skupien Dekens, Carine, Gendre, André

Dans une perspective sociolinguistique, Carine SKUPIEN DEKENS scrute la situation linguistique en Suisse romande et plus particulièrement à Neuchâtel au temps de la Réforme. Cette période est marquée par une diglossie qui favorise les contacts et les transferts linguistiques. L’implantation du français s’y révèle être antérieure à l’arrivée des protestants et l’étude de la scripta – langue écrite mixte – montre que, au XIVe siècle, le français écrit de Suisse romande partage est fortement influencé par les usages scripturaux de l’est de la France. Par la suite, les traits régionaux y sont de moins en moins présents.

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Pour une lecture réaliste de Monique Saint-Hélier

2013, Jaquier, Claire, Gendre, André, Kamber, Alain, Petris, Loris, Skupien Dekens, Carine

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Michel de L'Hospital, Carmina Livre II, éd. D. Amherdt, L. Chappuis Sandoz, P. Galand et L. Petris, avec la collaboration de C. Guerra et R. Stawarz-Lüginbühl

2017, Chappuis Sandoz, Laure, Amherdt, David, Petris, Loris

Les vingt épîtres qui forment le livre II des Carmina de Michel de L’Hospital (1505-1573), composées entre 1546 et 1560, en pleine ascension politique du poète, sont adressées au roi Henri II, à Marguerite de France, à des prélats (cardinaux de Lorraine et Du Bellay), à des lettrés (Macrin, Mondoré), ainsi qu’à des hommes de loi (Olivier, Du Faur). Repensant son époque à la lumière des auteurs antiques, L’Hospital mêle satire du milieu judiciaire et de la cour, éloge du sage stoïcien et de l’otium, réflexions politiques (sur le souverain idéal et sur les rapports du particulier avec le pouvoir), morales (éloges paradoxaux de la maladie et de la guerre, éthique de l’éloquence judiciaire, attitude idéale face à la mort d’un proche) et littéraires (éloge de Ronsard, affirmation de la supériorité des lettres, considérations sur le métier de poète). Se mettant constamment en scène, il se peint en figure d’autorité et, faisant alterner sermo horatien et sermon chrétien, développe une réflexion éthique pour lui-même et pour les autres. L’édition, fondée sur les manuscrits et les plaquettes collationnés avec les éditions imprimées de 1558 et 1732, offre le texte latin de chaque épître accompagné d’une traduction française en stiques, d’une analyse historique et poétique et d’un commentaire, ainsi qu’une introduction, des notices biographiques sur les destinataires, un index des lieux, des personnes et des matières. Les vingt épîtres qui forment le livre II des Carmina de Michel de L’Hospital (1505-1573), composées entre 1546 et 1560, en pleine ascension politique du poète, sont adressées au roi Henri II, à Marguerite de France, à des prélats (cardinaux de Lorraine et Du Bellay), à des lettrés (Macrin, Mondoré), ainsi qu’à des hommes de loi (Olivier, Du Faur). Repensant son époque à la lumière des auteurs antiques, L’Hospital mêle satire du milieu judiciaire et de la cour, éloge du sage stoïcien et de l’otium, réflexions politiques (sur le souverain idéal et sur les rapports du particulier avec le pouvoir), morales (éloges paradoxaux de la maladie et de la guerre, éthique de l’éloquence judiciaire, attitude idéale face à la mort d’un proche) et littéraires (éloge de Ronsard, affirmation de la supériorité des lettres, considérations sur le métier de poète). Se mettant constamment en scène, il se peint en figure d’autorité et, faisant alterner sermo horatien et sermon chrétien, développe une réflexion éthique pour lui-même et pour les autres. L’édition, fondée sur les manuscrits et les plaquettes collationnés avec les éditions imprimées de 1558 et 1732, offre le texte latin de chaque épître accompagné d’une traduction française en stiques, d’une analyse historique et poétique et d’un commentaire, ainsi qu’une introduction, des notices biographiques sur les destinataires, un index des lieux, des personnes et des matières. Carmina . Les vingt épîtres qui forment le livre II des Carmina de Michel de L’Hospital (1505-1573), composées entre 1546 et 1560, en pleine ascension politique du poète, sont adressées au roi Henri II, à Marguerite de France, à des prélats (cardinaux de Lorraine et Du Bellay), à des lettrés (Macrin, Mondoré), ainsi qu’à des hommes de loi (Olivier, Du Faur). Repensant son époque à la lumière des auteurs antiques, L’Hospital mêle satire du milieu judiciaire et de la cour, éloge du sage stoïcien et de l’otium, réflexions politiques (sur le souverain idéal et sur les rapports du particulier avec le pouvoir), morales (éloges paradoxaux de la maladie et de la guerre, éthique de l’éloquence judiciaire, attitude idéale face à la mort d’un proche) et littéraires (éloge de Ronsard, affirmation de la supériorité des lettres, considérations sur le métier de poète). Se mettant constamment en scène, il se peint en figure d’autorité et, faisant alterner sermo horatien et sermon chrétien, développe une réflexion éthique pour lui-même et pour les autres. L’édition, fondée sur les manuscrits et les plaquettes collationnés avec les éditions imprimées de 1558 et 1732, offre le texte latin de chaque épître accompagné d’une traduction française en stiques, d’une analyse historique et poétique et d’un commentaire, ainsi qu’une introduction, des notices biographiques sur les destinataires, un index des lieux, des personnes et des matières. Carmina . .

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Michel de L'Hospital, Carmina, livre I

2014, Petris, Loris

Les Carmina (Sermones seu Epistolae) du chancelier de France Michel de L’Hospital (1505-1573) traversent quatre règnes, des espoirs de l’humanisme aux désillusions des guerres de religion. Cohérent et largement diffusé, ce recueil de sept livres retrace l’itinéraire social, intellectuel, moral et spirituel d’un modéré, héritier de la pensée érasmienne. Dans cette oeuvre à la fois présente au monde et à distance de celui-ci, le poète, sous le signe d’Horace, médite sur lui-même, pense l’actualité historique à la lumière des œuvres de l’Antiquité et s’adresse à l’ami comme au puissant. Composées entre 1543 et 1556, les quinze épîtres du livre I des Carmina, marquées par les thèmes du voyage et de l’exil, sont adressées à des prélats (Du Bellay, Tournon, Armagnac, Carles), des lettrés (Du Châtel, Bocchi, Pontrone), des hommes de loi (Olivier, Du Drac) ainsi qu’à Marguerite de France. Cette première édition scientifique moderne, fondée sur les manuscrits collationnés avec les éditions imprimées de 1585 et 1732, offre, pour chaque poème, le texte latin assorti d’une nouvelle traduction française en stiques, d’une analyse et d’un commentaire, ainsi qu’une introduction générale, des textes de Jean Du Bellay et Jean de Boyssoné en annexe et un index des lieux, des personnes et des matières.

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Michel de L’Hospital, Discours et correspondance. La Plume et la tribune II

2013, Petris, Loris

édition critique des discours et de la correspondance du chancelier de France et poète néo-latin Michel de L'Hospital (1505-1573)