Voici les éléments 1 - 2 sur 2
  • Publication
    Accès libre
    Identités, représentations, inégalités et projets communs des élus neuchâtelois. Quelques éléments pour une cohésion cantonale
    Rapport de recherche sur le rôle des représentations que se font les élus politiques neuchâtelois du potentiel clivage « Haut et Bas » dans la cohésion cantonale. 504 élus législatifs et exécutifs aux échelons cantonaux et communaux ont rempli un questionnaire élaboré par les étudiants de 3ème année Bachelor en sociologie. Si certains élus soulignent des idées et des sentiments que l’on pouvait supputer (mais qu’il est toujours important de voir être statistiquement confirmés), d’autres informent sur des tendances et des attitudes parfois inattendues (nette préférence pour sa commune que pour son canton, absence de véritables stéréotypes entre habitants des régions, ouverture souhaitée vers la France et d’autres cantons, rôle de l’éducation dans la (dé)construction des clivages cantonaux,…). Mais les enjeux capitaux restent bien les questions liées à la mobilité/transport et l’implantation des infrastructures sanitaires. Mentionnons tout de même combien, selon la région d’appartenance, les myopies et les surdités peuvent être sélectives à l’égard de certains problèmes ou enjeux. A noter que le clivage « haut » ‐ « bas » s’articule désormais plutôt sur une diagonale « Littoral – Val‐de‐Ruz » et « Montagnes neuchâteloises – Val‐de‐Travers ». Un élément important est unanimement partagé par tous : la mauvaise image du canton à l’extérieur est considérée être de la responsabilité de chacun ! Et si l’échec de la votation sur l’objet du RER‐TransRUN laisse des traces et entretient certainement les dissonances, il est encourageant de constater que deux‐tiers des élus (69%) sont d’autant plus déterminés à faire avancer des projets cantonaux communs, tels que le RUN.
  • Publication
    Accès libre
    Les amours étudiantes : pratiques déclarées et représentations des étudiant-e-s de l’Université de Neuchâtel
    (2009) ; ;
    Ischer, Patrick
    Enquête menée par les étudiants en 3ème année de Bachelor dans le cadre du « Séminaire d’introduction à la recherche sociologique » dirigé pa le Professeur Hainard et ses assistants Patrick Ischer et Amaranta Cecchini. Dans le dessein de familiariser les jeunes sociologues à la méthode quantitative en sciences sociales, nous avons retenu le thème suivant : « Les amours étudiantes : pratiques déclarées et représentations des étudiante-s de l’Université de Neuchâtel ». Les premières questions qui ont rapidement émanées des lectures réalisées par les étudiants peuvent être ainsi formulées : Comment s’opèrent les rencontres amoureuses des étudiants ? Existe-t-il des lieux de rencontre privilégiés ? Les étudiants choisissent-ils un partenaire amoureux qui leur ressemble ? Quel est le rôle du milieu social d’origine dans le choix du partenaire ? De même, dans une société autorisant des modes de vie diversifiés, comment le couple se conçoit-il ? A quel moment les étudiants se considèrent-ils comme étant en couple et comment envisagent-ils leur avenir commun ? Dans quelle mesure la libération sexuelle s’est-elle sédimentée dans les représentations et les pratiques de cette population particulière ? Comment chacun parvient-il à gérer son intimité individuelle et celle du couple ? Quelles sont les valeurs attribuées au couple ?