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Le genre devant la justice pénale: Des stéréotypes aux inégalités de traitement

2017, Jaquier Erard, Véronique, Kuhn, André, Schwarzenegger, Ch., Vuille, Joëlle

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Prisons pour femmes

2016, Jaquier Erard, Véronique, Vuille, Joëlle, Brägger, Benjamin, Vuille, Joëlle

L’univers carcéral est un univers masculin. En Suisse, comme dans le reste du monde, la situation des femmes en détention préventive et en exécution de peines ou de mesures ne fait l’objet que d’une attention très marginale. Les règles internationales et nationales reconnaissent les besoins particuliers des détenues, en termes de conditions de détention et de soins médicaux, mais aussi de formations professionnelles et d'interventions thérapeutiques. Ces besoins ne sont toutefois pas toujours considérés par les autorités, en raison d'une certaine invisibilité de la population carcérale féminine.

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Santé carcérale

2016, Jaquier Erard, Véronique, Brägger, Benjamin, Vuille, Joëlle

L’OMS définit la santé comme «un état de complet bien être physique, mental et social, [qui] ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité.» La santé est déterminée tant par des caractéristiques individuelles (âge, sexe, style de vie) que collectives (éducation, conditions de vie, travail, accès aux soins); les déterminants de la santé sont multiples, agissant directement ou indirectement, seuls ou en interaction avec d’autres. En prison, la santé est (souvent) subordonnée à la sécurité: tout acte thérapeutique s’inscrit dans l’enchevêtrement des logiques sécuritaire et médicale. Si la prison n’a certes pas comme vocation première d’être un lieu de soins, en promulguant des traitements de qualité aux détenus, la médecine pénitentiaire peut contribuer à réduire les inégalités de santé et revêt dans ce sens un rôle dans la promotion de la santé publique.

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Femmes en exécution de peine

2016, Jaquier Erard, Véronique, Vuille, Joëlle, Brägger, Benjamin, Vuille, Joëlle

Les femmes commettent toute la palette des infractions criminelles: atteintes au patrimoine, criminalité économique, infractions routières, trafic de drogue, homicides, mais aussi violences interpersonnelles et agressions sexuelles. En revanche, en tant que groupe, les femmes sont moins nombreuses que les hommes à commettre des infractions, en commettent moins fréquemment, et, le plus souvent, commettent des infractions moins graves que les hommes.

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Victime

2016, Jaquier Erard, Véronique, Brägger, Benjamin, Vuille, Joëlle

Toute personne peut être une victime au sens de la Loi fédérale sur l’aide aux victimes d’infractions (LAVI), si elle a subi, du fait d’une infraction, une atteinte directe à son intégrité physique, sexuelle ou psychique. En Suisse, l’aide aux victimes comprend trois piliers: les conseils prodigués par les centres de consultation, les prestations financières et la protection particulière de la victime dans la procédure pénale. Penser la victime dans le contexte de l’exécution des peines et des mesures revient aussi à évoquer la question de la réparation du dommage causé inscrite au plan d’exécution de la sanction.