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    Métadonnées seulement
    Stendhal et le comique
    (Grenoble: ELLUG, 1999)
    Stendhal - le sait-on ? - a passé une bonne partie de sa vie à étudier l'art de Molière et à essayer d'écrire des comédies. Si ses tentatives de « comic bard » ont toutes échoué, elles ont néanmoins laissé des traces profondes dans son oeuvre, marquant en particulier ses romans. Les contributions réunies dans le présent ouvrage tirent les conséquences de l'intérêt manifesté par Stendhal pour toutes les formes de comique. Elles analysent l'empreinte de la comédie dans l'écriture romanesque, d'Armance à Lamiel, et la place du comique, ainsi que de catégories comme l'humour, l'ironie, l'autodérision, la satire, la parodie, la caricature ou le grotesque dans les écrits théoriques et autobiographiques de celui qui affirmait que « rien, ou presque rien, ne lui semblait valoir la peine qu'on en parle avec gravité ».
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    Parodie et humour noir. "La Passion considérée comme course de côté"
    Cette lecture détaillée de La Passion considérée comme course de côte débouche sur au moins deux problématiques intéressantes : I. Située « aux commencements du rire moderne » (Daniel Grojnowski), la chronique de Jarry implique et permet de mieux cerner une certaine conception du comique qui s'impose au début du XX?e? siècle, l'humour, ainsi que cette variété particulière d'humour, l'humour noir, à laquelle elle est rattachée par Breton. II. Cette chronique est un bon exemple des problèmes que peut poser l'isolement d'un texte coupé de son contexte par l'anthologisation ou l'analyse. L'étude du statut axiologique du texte de Jarry montre en effet que sa valeur peut changer du tout au tout selon qu'on l'envisage dans sa clôture ou qu'on en « reconstitue les contextes ».