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    Wirkungszusammenhänge Migration, Integration und Rückkehr : eine Literaturanalyse im Auftrag des SEM in Erfüllung des Postulats 16.3790 «Migration. Langfristige Folgen der Integration»
    (2020) ; ;
    Ãœllen, Sanda
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    Bilger, Veronika
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    Hofmann, Martin
    Am 29. September 2016 hat die Fraktion der Schweizerischen Volkspartei im Nationalrat das Postulat 16.3790 «Migration. Langfristige Folgen der Integration» eingereicht. Das Postulat greift vier thematisch breite Fragestellungen zu Migration, Integration und Rückkehr von Migranten und Migrantinnen in ihr Herkunftsland auf (siehe Anhang 1). In seiner Stellungnahme wies der Bundesrat darauf hin, dass keine allgemeingültigen Aussagen zu den aufgeworfenen Fragen zu erwarten seien. Er zeigte sich aber bereit, einen Bericht zu den relevanten Zusammenhängen erstellen zu lassen, der auf dem aktuellen Kenntnisstand beruht. Im Rahmen der Erfüllung des Postulats hat das Staatssekretariat für Migration (SEM) das Schweizer Forum für Migrations-und Bevölkerungsstudien (SFM) und das International Centre for Migration Policy Development(ICMPD) mit einer Literaturstudie beauftragt. Ziel dieser Studie ist es, den allgemeinen Kontext und empirisch fundierte Forschungsergebnisse der im Postulat aufgeworfenen Themenbereiche zu dokumentieren.Je nach Migrationsform regeln verschiedene gesetzliche Grundlagen Zulassung und Aufenthalt von Migranten und Migrantinnen. Aus diesem Grund ist insbesondere zwischen der Arbeitsmigration, dem Familiennachzug und der Asylmigration zu unterscheiden. Während bei der Arbeitsmigration wirtschaftliche Interessen im Zentrum stehen, geht es beim Familiennachzug um das Recht auf Familienleben und bei der Asylmigration um das Recht auf Schutz und Sicherheit. Andere Migrationsgründe, etwa Studienzwecke, werden in diesem Bericht nicht betrachtet. Bei Arbeitsmigration und Familiennachzug ist auf Gesetzesebene eine zwingende Rückkehr ins Herkunftsland bzw. eine Ausreise nur vorgesehen, wenn die betreffende Person eine Straftat begangen hat oder wenn der Aufenthaltszweck nicht mehr erfüllt ist, etwa nach dem Ablauf einer befristeten Anstellung. Bei der Asylmigration ist eine Rückkehr ins Herkunftsland nach einem negativen Asylentscheid vorgesehen. Allerdings können Geflüchtete –wenn eine Rückkehr unzumutbar, unmöglich oder unzulässig ist, etwa weil im Herkunftsland Krieg herrscht –trotz negativen Entscheids als vorläufig Aufgenommene in der Schweiz bleiben. Auf Gesetzesebene ist eine Rückkehr ansonsten nicht vorgesehen, spezifisch auch nicht bei anerkannten Flüchtlingen, was eine freiwillige Rückkehr natürlich nicht ausschliesst.
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    Corrélations entre migration, intégration et retour : analyse de la littérature sur mandat du SEM en réponse au postulat 16.3790 « Migration. Conséquences à long terme de l’intégration »
    (2020) ; ;
    Ãœllen, Sanda
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    Bilger, Veronika
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    Hofmann, Martin
    Le 29 septembre 2016, le Groupe de l’Union démocratique du centre a déposé au Conseil national le postulat 16.3790 « Migration. Conséquences à long terme de l’intégration ». Celui-ci pose quatre vastes questions en lien avec la migration, l’intégration et le retour de migrants dans leur pays d’origine (cf. annexe 1). Dans son avis, le Conseil fédéral indique qu’il est impossible de répondre de manière générale aux questions posées, mais il se déclare disposé à rédiger, sur la base des connaissances actuelles, un rapport sur les corrélations entre ces éléments. En vue de la réponse au postulat, le Secrétariat d’État aux migrations (SEM) a commandé au Forum suisse pour l’étude des migrations et de la population (SFM) et à l’International Centre for Migration Policy Development (ICMPD) une étude bibliographique visant à décrire le contexte général et les résultats empiriques de la recherche dans les domaines thématiques mis en évidence par le postulat. Les bases légales régissant l’admission et le séjour des migrants varient en fonction du type de migration. C’est pourquoi il faut faire la distinction, en particulier, entre migration de travail, regroupement familial et asile. Si, dans le cadre d’une migration liée au travail, les intérêts économiques sont le principal enjeu, il s’agit pour le regroupement familial du droit à une vie familiale, et pour l’asile du droit à être protégé et à vivre en sécurité. Les autres motifs de migration (études, etc.) ne sont pas pris en considération dans ce rapport. En cas de migration de travail et de regroupement familial, un retour obligatoire dans le pays d’origine ou un départ de Suisse n’est prévu sur le plan légal que si la personne concernée a commis un délit ou si le but du séjour disparaît (au terme d’un emploi à durée déterminée, p. ex.). Pour les migrants demandant l’asile, le retour dans le pays d’origine est prévu en cas de décision d’asile négative. Toutefois, lorsque ce retour est inexigible, impossible ou illicite, notamment parce que le pays d’origine est en guerre, les intéressés peuvent rester en Suisse en tant qu’étrangers admis à titre provisoire. En dehors de ces cas, la législation ne prévoit pas de retour, y compris pour les réfugiés reconnus, ce qui n’exclut pas pour autant un retour volontaire.
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    Kantonale Spielräume im Wandel: Migrationspolitik in der Schweiz
    (2019)
    Probst, Johanna
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    D'Amato, Gianni
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    Dunning, Samantha
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    Fehlmann, Joëlle
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    Perret, Andreas
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    Sille, Irina
    Die Schweiz hat sich verändert. Sie ist zur Heimat geworden für viele, deren Vorfahren in den letzten Jahrzehnten und Jahren von anderswo zugezogen sind. Vielfalt und Verschiedenheit – geradezu eine conditio humana der Schweiz – brauchen Verständigung über das, was uns gemeinsam ist. Dieses Bestreben, eingerahmt in einen gesellschaftlichen Prozess des Austauschs und der gegenseitigen Veränderung, ist letztlich Integration. Die Schweiz hat auf diesem Weg der Konsensfindung sowohl in der Vergangenheit als auch in der Gegenwart grosse Erfolge verzeichnet, es braucht aber weiterhin Anstrengungen auf der Suche nach dem verbindenden «Wir». In einem föderalen, auf Subsidiarität verpflichteten System wie jenem der Schweiz findet Integration vornehmlich in den Kantonen und Gemeinden statt. Es gibt in einem föderalen System somit auch nicht eine Integrationspolitik, ebenso wenig wie man angesichts kantonaler Unterschiede von der Integration sprechen kann, obschon mit den Kantonalen Integrationsprogrammen konvergierende Schwerpunkte gesetzt worden sind. Aus guten Gründen haben also das Schweizerische Forum für Migrations- und Bevölkerungsstudien (SFM) gemeinsam mit dem nccr – on the move (Nationaler Forschungsschwerpunkt Migration und Mobilität), welcher der Integration im föderalen Kontext grosse Aufmerksamkeit schenkt, eine Studie angeregt, die den Stand des Zusammenspiels von Bund und Kantonen in der Migrations- und Integrationspolitik untersucht. Dabei sollte die Vielfalt unterschiedlicher Vorgehensweisen, Strukturen und Strategien unter die Lupe genommen werden, wie dies bereits in einer 2011 vom SFM durchgeführten Studie zum gleichen Thema erfolgt ist. Die Eidgenössische Migrationskommission (EKM), das Staatssekretariat für Migration (SEM), die Fachstelle für Rassismusbekämpfung (FRB) und acht Kantone entschlossen sich, die Studie zu unterstützten. Ausserdem erfreute sich das Forschungsteam der strategischen Begleitung und der praktischen Unterstützung zahlreicher kantonaler Fachkonferenzen und -verbände aus dem Migrationsbereich. Wie 2011 werden namentlich die Integrationsförderung, die Zulassungs- und Einbürgerungspraxis sowie die Aufnahme im Asylbereich näher untersucht. Neu sind Schutz vor Diskriminierung (sowie Öffnung der Institutionen) und die Integration von Flüchtlingen in die Studienanlage aufgenommen worden. Als Beobachtungszeitpunkt wurde der Dezember 2017 gewählt. Dies ermöglicht, den Stand der Dinge vor Eintreten verschiedener Neuerungen im Ausländer-, Integrations-, Asyl- und Bürgerrecht ab 2018 zu dokumentieren und somit eine Vergleichsgrundlage für künftig Neuerhebungen zu schaffen.
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    Marges de manœuvre cantonales en mutation : politique migratoire en Suisse
    (2019)
    Probst, Johanna
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    D'Amato, Gianni
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    Dunning, Samantha
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    Fehlmann, Joëlle
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    Perret, Andreas
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    Sille, Irina
    La Suisse a changé. Elle est devenue la "Heimat" de nombre de personnes dont les aïeux sont venus d’ailleurs au cours des dernières décennies et années. La diversité et la différence –pour ainsi dire une "conditio humana" de la Suisse –appellent à une conversation sur ce qui nous est commun. Cet effort,qui s’inscrit dans un processus social d’échange et de changement mutuel, est en fin de compte l’intégration. Dans le passé comme dans le présent, la Suisse a obtenu de bons résultats dans ce processus de recherche d’un consensus, mais des efforts restent à faire dans la quête du "nous" unificateur.Dans un système fédéral comme celui de la Suisse, attaché au système de la subsidiarité, l’intégration se fait principalement dans les cantons et les communes. Il n’y a donc pas une politique d’intégration dans un système fédéral, tout comme on ne peut pas parler d’intégration au singulier au regard des différences cantonales, bien que des priorités convergentes aient été fixées avec les programmes cantonaux d’intégration. Pour ces bonnes raisons, le Forum suisse pour l’étude des migrations et de la population (SFM), en collaboration avec nccr –on the move (Pôle de recherche national sur la migration et la mobilité), qui accorde une grande attention à l’intégration dans le contexte fédéral, a lancé une étude qui examine l’état de l’interaction entre la Confédération et les cantons dans la politique de migration et d’intégration. A cette fin, la diversité des approches, des structures et des stratégies doit être examinée, comme cela a déjà été le cas dans une étude sur le même sujet réalisée par le SFM en 2011. La Commission fédérale des migrations (CFM), le Secrétariat d’Etat aux migrations (SEM), le Service de lutte contre le racisme (SLR) et huit cantons ont décidé de soutenir cette étude. En outre, l’équipe de recherche a bénéficié de l’accompagnement stratégique et du soutien pratique de nombreuses conférences et associations cantonales spécialisées du domaine de la migration. Comme en 2011, l’encouragement de l’intégration, la pratique d’admission et de naturalisation ainsi que la prise en charge dans le domaine de l’asile sont examinés en détail. La protection contre la discrimination (ainsi que l’ouverture institutionnelle) et l’intégration des réfugié·e·s ont été ajouté au concept de l’étude. Décembre 2017 a été choisi comme date de référence pour l’observation. Ceci permet de documenter l’état des choses avant la mise en application de diverses nouveautés en matière de droits des étrangers, d’intégration, d’asile et de la nationalité à partir de 2018 et de créer ainsi une base de comparaison pour des études à venir.
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    Accès aux prestations municipales de proximité : collectivités migrantes dans les quartiers de la Ville de Genève
    Genève affiche le taux de population migrante le plus élevé de Suisse et se caractérise par une forte mobilité internationale de sa population, très diverse du point de vue socio-économique et en termes d’origines, de trajectoires. Dans ce contexte, le Département de la cohésion sociale et de la solidarité (DCSS) de la Ville de Genève, en collaboration avec le Bureau de l’intégration des étrangers du Canton, a chargé le SFM de l’Université de Neuchâtel de mener une étude sur l’accessibilité de son offre de services : le but est d’apprécier dans quelle mesure les habitant·e·s migrant·e·s, font appel aux prestations municipales de proximité. Les résultats soulignent, entre autres, le potentiel de l’intervention sociale de proximité facilitant les contacts personnels et un conseil sur mesure : une démarche qui se révèle particulièrement précieuse pour répondre aux besoins des personnes migrantes vulnérables. L’examen de différentes prestations met également en évidence les obstacles communicationnels, administratifs et financiers, ainsi que les diverses mesures déjà prises par la Ville pour y faire face.