Voici les éléments 1 - 4 sur 4
  • Publication
    Métadonnées seulement
    Stendhal et le comique
    (Grenoble: ELLUG, 1999)
    Stendhal - le sait-on ? - a passé une bonne partie de sa vie à étudier l'art de Molière et à essayer d'écrire des comédies. Si ses tentatives de « comic bard » ont toutes échoué, elles ont néanmoins laissé des traces profondes dans son oeuvre, marquant en particulier ses romans. Les contributions réunies dans le présent ouvrage tirent les conséquences de l'intérêt manifesté par Stendhal pour toutes les formes de comique. Elles analysent l'empreinte de la comédie dans l'écriture romanesque, d'Armance à Lamiel, et la place du comique, ainsi que de catégories comme l'humour, l'ironie, l'autodérision, la satire, la parodie, la caricature ou le grotesque dans les écrits théoriques et autobiographiques de celui qui affirmait que « rien, ou presque rien, ne lui semblait valoir la peine qu'on en parle avec gravité ».
  • Publication
    Métadonnées seulement
    Parodie et humour noir. "La Passion considérée comme course de côté"
    Cette lecture détaillée de La Passion considérée comme course de côte débouche sur au moins deux problématiques intéressantes : I. Située « aux commencements du rire moderne » (Daniel Grojnowski), la chronique de Jarry implique et permet de mieux cerner une certaine conception du comique qui s'impose au début du XX?e? siècle, l'humour, ainsi que cette variété particulière d'humour, l'humour noir, à laquelle elle est rattachée par Breton. II. Cette chronique est un bon exemple des problèmes que peut poser l'isolement d'un texte coupé de son contexte par l'anthologisation ou l'analyse. L'étude du statut axiologique du texte de Jarry montre en effet que sa valeur peut changer du tout au tout selon qu'on l'envisage dans sa clôture ou qu'on en « reconstitue les contextes ».
  • Publication
    Métadonnées seulement
    "La Chartreuse de Parme", chant et tombeau
    (Grenoble, 1997)
    Les AA. s'interrogent sur ce roman de Stendhal et, plus précisément : sur les rapports entre l'improvisation et le canevas ; sur le rôle des canevas dans le domaine des descriptions ; sur le bonheur ; sur Stendhal et les caractéristiques musicales de son énonciation ; sur les liens entre lyrisme et ironie ; sur le rapport de Stendhal à l'Histoire au travers du motif de l'archéologie ; sur la thématique politique de La Chartreuse ; sur le crime et l'esprit dans le roman ; sur la mort de Sandrino resituée dans l'économie de l'ouvrage ; et sur les dernières lignes de La Chartreuse, et leurs ambiguïtés
  • Publication
    Métadonnées seulement
    Stendhal et l'Empire du récit
    L'A. étudie l'importance du récit dans toute l'oeuvre de Stendhal, et montre que les modèles de ce récit sont à chercher dans un usage mondain de la narration que l'on peut mettre en relation avec la place de la biographie dans cette oeuvre. Il explique également les rapports entretenus par Stendhal avec le théâtre par la conception du récit qui sous-tend son travail