Voici les éléments 1 - 4 sur 4
  • Publication
    Accès libre
    De la coutume au code. Résistances à la codification du droit civil à Neuchâtel sous l'Ancien Régime
    (Neuchâtel: Auto publication, 2019)
    La codification du droit civil n’est pas une évolution naturelle, bénéfique et unanimement plébiscitée. La plupart, sinon la totalité de ces entreprises, ont rencontré des oppositions. Afin de mieux comprendre ce phénomène, Adrien Wyssbrod analyse près de trois siècles de résistances dans la principauté de Neuchâtel. Le règne de Frédéric II en constitue le point culminant. Après avoir défini qui résiste, pourquoi et comment, il utilise ses résultats comme un miroir de la société d’Ancien Régime. Des parallèles très variés, notamment avec l’élaboration du Code civil français, la révolution kémaliste ou encore la restauration de Meiji ouvrent la réflexion sur le rapport des individus au droit et à sa formulation. L’ouvrage porte un regard nouveau sur la codification, les relations entre le prince, son administration et ses sujets, ainsi que la gestion d’un État à distance.
  • Publication
    Métadonnées seulement
    Procès du roi de prusse Frédéric Guillaume III, prince de Neufchâtel
    (Neuchâtel: Eddy Piaget*, 2013) ;
    textes: Simon Stoeckli, Pierre Aubert, Yves de Rougemont ; introduction historique: Arnaud Besson, Wyssbrod Adrien Introduction historique sous la forme d'un fac-similé d'un faux numéro spécial de la feuille d'avis de Neuchâtel du dimanche 25 août 2013
  • Publication
    Accès libre
    Belles-Lettres Neuchâtel, un acteur social en Suisse romande (1918-1957)
    (Neuchâtel: Alphil presses universitaires suisses, 2013)
    La société de Belles-Lettres apparaît à Neuchâtel en 1832. Ayant pour but à sa création de réunir les étudiants royalistes, elle se distancie rapidement de la politique pour devenir un complément à une éducation supérieure défaillante. Au sortir de la Première Guerre mondiale, cette société d’étudiants s’investit activement dans la vie culturelle neuchâteloise. Alors que la société fête son 125e anniversaire, aux alentours de 1957, elle cesse toutes ses activités publiques. Quelles étaient les motivations de ceux qui rejoignaient une société d’étudiants ? Que faisaient-ils lors de leurs réunions ? Comment ce petit groupement d’étudiants se distingua-t-il durant une quarantaine d’années avant de se replier sur lui-même ? Voici quelques questions auxquelles ce livre tente de répondre, en suivant dans leurs premiers pas de jeunes étudiants, souvent promis à de brillantes carrières, tels que Denis de Rougemont, Eddy Bauer et bien d’autres.